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Un requin dans l'aquarium ☼ HAYLEN & MAKOTO






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Ven 23 Déc - 22:29
Un requin dans l'aquarium - Erreur.
Haylen Goldchild

☼ Dans une ville ambiancée, l’âme en peine trouve réconfort dans la buvette.

Sandy Island vous connaissez ? Une gigantesque île désertique située sur grand line. Oh… Arrêtez, je suis sur que vous connaissez ça. Peut être sous un autre nom, le Royaume d’Alabasta, ça doit forcement vous parler ! Makoto était stationné sur place depuis quelques jours déjà, c’était un bon lieu pour prendre des vacances et faire un peu de bronzette au vu du climat. L’ambiance des lieux était relaxante à souhait. Un vrai paradis pour ceux qui cherchent à passer du bon temps à l’abri des regards.
Le jeune voyou pouvait se permettre ce genre de dépenses depuis qu’il était au service du jeune Leoxses, faut dire qu’il payait grassement ses services en plus du fait qu’il ait choisi de son propre chef de se ranger sous sa bannière, mais vous savez ce qu’on dit. ▬ Trop de travail tues le travail.

Il était là, à déambuler dans les rues du souk de la grande ville s’arrêtant à toutes les échoppes qu’il croisait, achetant toutes sortes de babioles plus ou moins utile à son enrichissement personnel… Mais n’allez pas vous imaginer des choses, il était peut être là à dépenser sans compter, mais il comptait bien sur le fait que ce voyage se devait être lucratif.
Cependant, penser cela de Makoto serait un bien grosse erreur… Il venait de tomber sur une échoppe contenant son péché mignon, sources de toutes les emmerdes arrivées ce jour là. L’élixir de la folie, le fléau de la société… Un alcool, mais pas n’importe lequel. Une boisson si forte que seul deux verres ont suffit pour nôtre jeune protagoniste ne s’en aille dans un monde différent du commun des gens clean.

Il était bourré comme jamais il ne l’avait été auparavant. Il titubait, son corps était bouillant. On pouvait presque voir s’échapper de la vapeur de sa peau tellement il avait chaud. Son comportement déjà violent de base s’accentua au point d’étaler ses phalanges dans le visage du premier qui aurait eut l’audace de le regarder de travers. Il se disait que la première remarque déplacée serait punie avec la plus grande des sévérités, que le premier homme un peu trop sur de lui qui viendrait faire la mala se verrait renvoyé chez lui d’un revers de nadal dans la bouche.

Il était dans un état second, une paranoïa dangereuse qui aurait pu compromettre le reste de son séjour sur place. Il suffisait de le voir pour le comprendre. Il jetait des regards extrêmement suspects à droite à gauche comme s’il était filoché, il n’arrivait pas à sentir de présence hostile cependant… Pourquoi avait-il donc ce sentiment de malaise ? Etait-ce l’alcool qui le mettait dans cet état ? Les questions étaient nombreuses et se chamboulaient dans sa tête comme des quilles frappées par une boule de bowling.

Ses yeux étaient lourds, de plus en plus lourd. Mais il ne pouvait pas se permettre de piquer un somme en pleine rue. ▬ Quelques secondes seulement. se disait le jeune homme tout en se tenant la tête, le bruit de la foule lui donnait mal à la tête. Bruyante était l’atmosphère autour de lui, il en avait conscience et ne s’en était pas soucié avant tout ça, pourquoi maintenant ? Il mourrait d’envie de carboniser cette foule juste pour avoir un eu de silence pour lui, mais il appréhendait déjà les cris de ceux qui se feraient brûler vifs par ses flammes.

▬ Juste un petit somme, rien de plus. Disait Makoto, se glissant dans une petite ruelle des faubourgs de la capitale. Il n’avait pas senti la route tellement son mal de crane devenait de plus en plus puissant. Sa respiration était saccadée ▬ C’est quel genre de boisson qui vous met dans des états comme ça ? Plus jamais j’touche une goute d’alcool de ma v…
Il… Venait de s’endormir sans crier gare, sa tête plantée dans le sable dans une position vraiment drôle, son corps faisait une forme ridicule alors qu’il était raide comme un piquet, comme une chaise pliante à moitié dépliée.

☼ Petits rats, petit rats, priez pour que je ne vous trouve pas ♪

Un rire gras s’échappait d’une petite ruelle, un rire qui plus le temps passait se voyait de plus en plus sinistre. Cette voix familière qui semblait avoir retrouvé toute sa splendeur depuis la dernière fois qu’elle fut entendue. Makoto était dans une espèce de transe macabre, terrifiante était l’atmosphère autour de lui alors qu’il s’agitait dans tout les sens retournant ses poches comme s’il espérait trouver un glacier dans l’une d’elles. ▬ Dites moi que c’est un rêve, dites moi que c’est un rêve…
Un long silence vint marquer la fin de sa phrase, comme pour marquer l’aspect dramatique de la situation.

Puis, quelques secondes après ça, dans tout le faubourg d’Alubarna retentissait un hurlement infernal suivi d’un torrent de flammes orienté vers le ciel visible dans tout le pâté de maison. L’homme de feu était entré dans une rage folle… Mais quel était la raison d’un tel déchainement de violence ? ▬ Les enfoirés, ces putains de vendeurs d’alcool… Je suis sur que c’est eux, ils m’ont bien baisé avec leur alcool étrange ! Si je leur mets la main dessus je vous jure que je vais me les faire, aucun d’entre eux ne quittera cette île vivant tant que je n’aurai pas récupéré mon argent. Il venait donc de se faire dérober tout son argent pendant son sommeil… étrange, même alcoolisé il n’aurait pas du se faire prendre par surprise comme ça.

Depuis un petit moment déjà, il se serait réveillé immédiatement, ne serait-ce qu’en se faisant effleurer la poche… Cet alcool était-il la cause de ses soucis ? Ou était-ce simplement la paranoïa qui l’envahissait après s’être fait dérobé ses économies ? L’avenir le lui dira sûrement.  






Makoto parle en #CE5022
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Lun 26 Déc - 11:23
Ah soleil et chaleur riant ! Voilà enfin une île où il ne fait ni froid, ni bon… Il fait trop chaud pour travailler ! Malgré la sécheresse, le Royaume d’Alabasta possédait tout de même de nombreux points d’eau. En arrivant ici, Haylen décida de prendre un peu de bon temps. Du repos elle en avait bien besoin et quoi de mieux que l’une des plus grandes villes de Grand Line ? Elle avait enfin atteint cette dangereuse mer, difficilement mais sûrement, la blonde pouvait bien s’autoriser un peu de vacances. Avec tout son argent, elle se posa au bord d’un point d’eau, sur un transat, en maillot de bain. Elle engagea des personnes pour lui faire de l’ombre, de l’air et surtout, des boissons ultra fraiches. L’avantage d’être riche c’est de pouvoir avoir tout ce que l’on veut. La femme médecin était là, les pieds en éventail, elle vivait un moment presque parfait… Presque parce qu’il manquait toujours quelqu’un et ce n’était peut-être pas si agréable que ça. C’était même un peu tristounet alors Haylen n’hésita pas à demander toujours plus de verres d’alcool finissant ainsi par s’endormir comme un gros tas sur son transat. Elle bronzait et à présent, il ne restait plus que la personne qui lui faisait de l’ombre. Cette personne avait drôlement envie de s’en aller mais elle était la seule à ne toujours pas avoir reçu de récompense. Il tenta alors de la réveiller mais sans succès. Exaspéré par cette femme qui le prenait pour son larbin, l’homme lui déroba ce qu’elle avait de précieux sur elle. De l’argent certes mais surtout, ses fringues de luxe et des bijoux et ça, ça allait vraiment la mettre en colère.
Plus d’ombre, plus d’air, plus de boisson fraiche, plus de fringues, plus rien, voilà la blonde en train de fondre au soleil. Fort heureusement, avant qu’elle ne crame, quelque chose la réveilla. Quelque chose d’inhabituel… Une voix encore plus stridente que la sienne lorsqu’elle s’énerve. Je dirai même un cri bestial et un grand feu d’artifice. Haylen se réveilla alors en sursaut, peut-être un peu trop bronzée, elle regarda tout autour d’elle et vit en effet un des flammes loin d’elle mais assez proche pour l’atteindre. Un homme assez étrange était dans une fureur noire. Immédiatement, elle bondit de son transat et l’attrapa bien fermement dans ses mains. Le médecin n’aimait pas qu’on la réveille si brutalement. Elle envoya alors en direction de cet homme en furie son transat avec une puissance supérieure à un humain lambda. Pourtant, tout comme elle, cet homme venait de se faire voler. Les rues d’Alabasta n’étaient pas si sûres que ça.

- TU VAS LA FERMER OUAIS

Les gens autours d’eux commencèrent à fuir. Ils avaient peur de cet homme en flamme. Il faut dire que depuis les attaques de pirates, les habitants sont un peu traumatisés. Quant à Haylen, elle se rendit compte de sa réaction un peu trop impulsive. Se faire réveiller comme ça n’était jamais bon. Ses deux yeux de rubis s’écarquillèrent fixant au loin cet homme qui venait tout juste d’éclater en flammes. Il possédait très certainement un fruit du démon et le pire dans tout cela, c’était que ce fruit était le pire ennemi d’Haylen, la chaleur intense… De quoi la faire fondre et se faire tuer trop rapidement. Que faire ? Fuir ou s’excuser, telle est la question ? La blonde n’était pas bête, si elle prenait la fuite, il allait très certainement la soupçonner d’avoir volé son argent. En revanche, si elle s’excusait, elle risquait de se prendre une bonne grosse raclée. La mort ou la fessée ? Mmmh, telle est la question. La jeune femme chercha alors ses affaires autours d’elle mais plus rien… Plus personne, quelqu’un lui avait tout volé. Elle était à présent dans la même situation que l’homme qu’elle venait presque d’agresser. Ses cheveux se dressèrent tous, craignant ainsi la foudre de l’inconnu. La blonde tenta le tout pour le tout. Ne voulant pas fondre, elle acheta d’abord un paréo et se rapprocha de l’individu. Il parlait d’argent, de récupérer du moins ses sous… Haylen finit par lui adresser la parole, se sentant un peu bête.

- Je suis désolée ! Est-ce que je peux t’aider pour me faire pardonner ? j’ai justement quelques comptes à régler.

Pour le coup, Le trésor vivant était dans une sacrée embrouille. Elle était prête à esquiver n’importe quelle flamme mais ne savait pas quoi dire de plus à cet homme volé. Mis à part lui proposer son aide, que pouvait-elle bien faire de plus ? Elle devait elle-même retrouvé son voleur et cela allait être plus compliqué que jamais. Haylen pouvait très bien lui redonner une somme équivalente en or mais non… Ca risquait d’être encore plus épuisant selon la somme. Puis montrer ses capacités n’importe où était un risque. S’il y avait des voleurs d’argent, il y avait aussi des voleurs d’or. La jeune femme n’avait aucune envie de se retrouver encore et toujours dans un coffre et vendu aux enchères ou on ne sait trop quoi.

En s’approchant plus près encore, Haylen sentit une drôle d’odeur sur cet homme. De l’alcool… Il avait certainement beaucoup bu et bien plus qu’elle qui avait siroté seulement des cocktails. Elle se racla alors la gorge, un peu gênée par l’odeur. La maudite était en train de se demander s’il n’y avait pas en face d’elle un simple clochard. En réfléchissant bien, il était peut-être un peu trop bien habillé pour ça. Elle finit par fixer intensément son interlocuteur. C’était sûrement un peu bizarre mais sa gueule lui disait vaguement quelque chose. Elle n’était pas née à Goa mais elle y a suffisamment vécu pour y avoir croisé beaucoup de têtes. Haylen a longtemps été médecin là-bas alors des rumeurs et autre elle en entendait. Non, elle ne connaissait pas personnellement ce gars mais vraiment, sa tête lui disait quelque chose. Alors elle le fixait, elle le fixait sans le lâcher du regard.

Pendant ce temps-là, un suspect regardait l’inconnu qu’elle avait en face d’elle. Il riait à la vue de son énervement visiblement. Qu’est-ce qu’il pouvait bien vouloir ? Etait-ce un simple pervers ou avait-il quelque chose à voir avec les vols d’aujourd’hui. Haylen le remarqua après quelques secondes et le pointa du doigt afin de le signaler à son interlocuteur. Avec un peu de chance, il lui pardonnerait cette rencontre un peu brutale.
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Mer 28 Déc - 14:08
Un requin dans l'aquarium - Hey bella.
Haylen Goldchild

☼ C’est un avion de chasse !

Quand bien même il aurait pu vaporiser tout ce quartier d’un seul battement de cil s’il l’aurait souhaité, Makoto savait très bien que les conséquences d’un agissement aussi démesuré auraient mis des freins dans les plans de son employeur. « Tu es en vacances, ça ne veut pas dire que tu dois foutre la merde pour autant. » Connaissez-vous quelqu’un capable de dire ça à visage découvert à Makoto ? Moi je n’en connaissais qu’un seul. Et faut dire, que ce n’était pas n’importe qui ! Il se devait d’écouter ces consignes au risque de voir s’envoler sa prochaine paye. ▬ JAMAIS DE LA VIE ! Pensait le voyou alors qu’il commençait à se gratter la tête bien plus que nécessaire.

Vous savez quel est le problème avec ces genres d’endroit ? C’est que souvent, les gens dont ont en à rien à foutre se mêlent des problèmes des autres, des vrais cafards qui ne semblaient pas savoir se tenir convenablement ▬ Oh putain la vache, ce n’est pas une femme c’est un missile ! Pensait-il à voix haute alors qu’il venait de sortir de sa phase de colère, dérangé par ce qui semblait être le canon de la journée. Se pavaner en bikini dans les faubourgs de la ville, fallait soit être un super touriste ou être ce genre de femme en chaleur… Et si c’était la deuxième solution, le chaud bouillant de l’histoire c’était lui… Pour quelqu’un qui possédait le Mera Mera, je trouve que l’appellation lui convenait parfaitement.

Il était là, à l’écouter d’une seule oreille alors qu’il jetait un coup d’œil au paquet qui était livré avec cette voix tremblante. Elle cherchait désespérément à se faire pardonner d’une chose ? Etait-ce elle qui détenait l’argent de Makoto ? Auquel cas il aurait été stupide de revenir dans les parages et se vanter de lui demander de l’aide… D’un coté, il se disait que c’était sûrement un stratagème des voleurs pour assurer leur fuite… De l’autre ▬ Putain regardez moi ça ! Depuis quand y’a-t’il des prototypes comme ça qui se baladent dans un coin paumé ? Hurlait Makoto tout en tournant autour de la femelle qui était en état d’alerte, analysant la moindre parcelle de peau non couverte par le tissu du maillot de bain. Bon, au moins, Cette fillette n’était sûrement pas celle qui avait volé l’argent de Makoto, à moins qu’elle n’ait des seins ridiculement petit et qu’elle ait caché l’argent dans son soutif… Aucune chance que ce soit elle. ▬ Nan, j’confirme… pas possible. Disait Makoto après avoir palpé ça dans le plus grand des calmes.

Enfin, ce n’était pas ça qui avait dérangé nôtre voyou bourreau des cœurs pour autant. Il avait toujours cette idée en tête, ceux qui avaient volé son fric allaient le payer. Au double s’il était de bonne humeur et sûrement au triple et quelques dents cassées s’il était de mauvaise. Il jetait un regard aux alentours, remarquant que son torrent de flammes avait causé un peu de dégât aux maisons de la petite ruelle. Ce qui était peut être la cause de cet attroupement de civils autour de cet endroit. Son regard vint se poser sur la jeune touriste qui se défendait, attendant une quelconque réaction de la part de Makoto.

Le doigt de cette jolie dame se leva et immédiatement Mako’ s’était lancé a la poursuite de celui qu’elle désignait, une impulsion suivie d’une chiée de flammes longeant les murs de la ruelle passant a quelques centimètres à peine de la chevelure dorée de celle-ci. L’aller-retour fut bref et l’homme désigné d’office fut surpris. Son regard était tremblant, comme s’il semblait savoir quelque chose… ▬ Quel dommage…

Un violent « CRACK » retentissait autour d’eux lorsque Makoto brisa violemment la jambe du dit individu ▬ Au moins, on est sur qu’il nous dira ce qu’il sait comme ça. Mademoiselle, il est à vous.
Le brun n’était pas le genre de type facilement entraînable dans ce genre de situations d’habitude. Il y a quelques années de cela il lui aurait simplement suffit de saccager tout ce qu’il trouverait sur son chemin jusqu’à récupérer ce qu’il avait perdu. Non, les indications étaient claires « ne te fais pas remarquer. » bon, autant dire qu’avec l’attroupement autour de cette simple petite ruelle c’était déjà perdu d’avance.

▬ Je n’ai pas toute là journée, fais ce que t’as à faire avec lui si ça peut m’aider à retrouver ce que je cherche autant le cuisiner… Son regard se posa sur la blonde en maillot de bain qui n’était plus réellement dans les décors digne de faire bronzette. ▬ Et couvre toi un peu tu va attirer tous les chacals du coin.

Puis, il finit par s’adosser au mur, s’allumant une cigarette face à celui qui se tortillait de douleur, jetant des regards meurtriers à droite à gauche afin de dissiper la foule qui commençait à s’attrouper de plus en plus massivement suite aux hurlements de douleur de ce gus.


☼ VIOLENCE






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Mer 4 Jan - 11:06


Haylen se sentait vraiment ridicule. D’abord parce qu’elle avait perdu ses affaire et ensuite parce qu’encore une fois, elle n’avait pas su se contrôler. Ses nerfs avaient une fâcheuse tendance à lâcher rapidement.  C’était donc tel un chien battu qu’elle s’excusait auprès de son interlocuteur totalement loufoque. Lui qui semblait avoir un fort caractère, il eut une réaction totalement différente de ce à quoi elle s’attendait. Il parlait de prototype  et de missile. La blonde ne comprit pas forcément de suite. Il parlait d’elle ou de quelqu’un d’autre ? Par réflexe, la jeune femme inspecta du regard tous les recoins autour d’elle. Rien… Juste elle en maillot de bain et un gars assez excentrique qui lui tournait autours tel un chaud bouillant. Elle se sentit gêner surtout après sentit une drôle de palpitation… Mais il fallait se la fermer, ce gars détenait le pouvoir qui faisait le plus peur au trésor vivant. Le feu qui pouvait littéralement la faire fondre et la tuer rapidement. Elle se contenta alors de racler le fond de sa gorge pour qu’il arrête tout en pointant du doigt un inconnu.

Suite à cela,  le jeune homme se lança à la poursuite de l’espion très rapidement, voire trop rapidement. Haylen vit ses cheveux s’envoler et surtout elle entendit un bruit qu’elle ne connaissait que trop bien en tant que médecin. L’étranger avait la jambe en miette, raison de plus de ne pas s’attirer les foudres du démon de feu. Il confia ensuite la lourde tâche de l’interrogatoire au médecin. Faire parler les gens n’étaient pas réellement difficile surtout que ce gars avait vachement faiblard. Et sous les conseils avisés de son interlocuteur, Haylen emprunta les fringues de l’homme à la jambe cassée. Elle observa quelques secondes Makoto se fumer une cigarette et se lança après avoir enfilé quelques fringues qu’elle n’aimait pas du tout. Chemise blanche trop grande, ça faisait tout de même l’affaire mais c’était un tissu de mauvais goût. Sans trop perdre de temps, elle attrapa le blessé par le col et devint plus stricte.

- Qu’est-ce que tu matais connard ?
- Rien…Rien !
- Tu chies dans ton slip hein ? C’est toi qui lui a volé son fric ?  
- C’est-à-dire que…

Peu patiente, le trésor vivant appuya sur un nerf très précis de la jambe cassée afin qu’il ressente une vive douleur dans tout le corps. Il cria attirant ainsi quelques regards sur lui. Elle lança un regard meurtrier et le menaça d’appuyer une seconde fois, mais cette fois-ci ce sera plus douloureux. Etre médecin avait ses avantages.

- On n’a pas toute la vie !
- Ok ok ! Je vous trouvais juste ravissante
- Espèce de gros pervers !

Haylen le martyrisa une dernière fois. En fin de compte, ce n’était qu’un gros dégueulasse qui matait les femmes peu vêtues. Mais cet homme n’allait pas être si inutile que ça. Le vol de l’argent allait devenir une réelle enquête. Notamment parce qu’il savait tout de même quelque chose.

- STOP ! Je peux vous aider. J’ai vu par exemple le gars qui vous a volé vos affaires. C’était celui qui faisait de l’ombre. Il est partit en direction de marché. Pour son fric, j’sais pas trop mais en ce moment, un petit groupe vole de l’argent  sur des mecs bourrés. Il traîne dans un squat à la sortie de la ville.

La blonde lâcha alors ce pauvre homme et lança un regard à son coéquipier du jour. Ces informations allaient sûrement les aider à retrouver les voyous. Est-ce qu’ils avaient réellement son fric ? Peut-être pas mais ils avaient peut-être volé assez d’argent pour rembourser Makoto dont elle ne connaissait pas bien sûr le nom ni même le prénom. Ceci dit, il lui disait toujours autant quelque chose. La troupe elle s'agitait, il fallait vite se barrer d'ici avant qu'une milice ne se ramène. Ce serait vraiment dommage de terminer cette journée en prison pour plusieurs jours. Haylen entama alors directement les premiers pas en direction de ce fameux taudis.

- On a qu’à y aller, tu en penses quoi ? Je te suis, tu as l’air de mieux savoir te battre que moi. Et c’est hors de question que je serve de bouclier. Ah oui et appelle moi Haylen.



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Mer 4 Jan - 16:17
Un requin dans l'aquarium - Retour en arrière.
Haylen Goldchild

☼ Haylen…uh ?

Ce pauvre gus, Makoto avait presque de la peine pour lui. Pourquoi avait-il fallu qu’il se trouve là au mauvais endroit au mauvais moment ? Tout ça pour mater une fille aux formes généreuses… Mouais, finalement peut être qu’il l’avait cherché et d’ailleurs ça lui avait coûté un prix assez cher à assumer : La nudité partielle.
La blonde l’avait dépouillé de tout vêtement et par la même occasion, avait ôté le regard un peu lourd du brun qui regrettait d’avoir amené ce type par ici… ▬ Tant pis, toutes les bonnes choses ont une fin. Pensait-il.

En tout cas, elle avait réussi à le faire parler… Et malheureusement pour Makoto, ce n’était pas lui qui détenait son paquet d’oseille. Cependant, il avait appris qu’une bande de voyous s’amusaient à dépouiller les ivrognes… Sûrement le jour le plus chanceux de leur vie après tout,  un poivrot se balade rarement avec de l’argent plein les poches.

▬ Réponds moi. Lâcha sèchement Makoto à l’intention de l’homme a la jambe brisée. Est-ce que les marchands d’alcool ont quelque chose à voir avec ces voleurs… J’te préviens, ne t’avises pas de me mentir. Il s’approchait de lui, s’accroupissant pour se mettre à son niveau afin de plonger son regard dans le sien. Son interlocuteur n’était pas serein, il cherchait quelque chose de l’œil à droite à gauche évitant celui du voyou, plus par peur que par une intention de dissimuler la vérité.

Makoto se mit à rire, se moquant de l’homme qui était à deux doigts de se faire dessus ▬ Ce n’est pas la bonne façon de se comporter devant une femme ! Déjà que tu passes pour un malade mental à ses yeux, ce serait dommage de passer pour une tapette par-dessus tout. Mais bon, autant aller leur demander directement n'est-ce pas ? Suite à ces mots, il se mit à regarder la blonde avant de se relever.

Celle-ci le regardait avec des yeux de merlan frit sans que le brun ne sache réellement pourquoi… Elle avait cependant cette odeur, différente de celle des femmes de ce pays. Bien trop pâle pour que ce soit une native de l’île, elle devait forcement venir d’ailleurs. Haylen, tel qu’elle s’était présentée enclencha la marche, suivant les indications de ce gus terrorisé.

La voix de Makoto se fit entendre après qu’il ait jeté sa cigarette. ▬ Oh, ouais… Pour une jolie fille comme toi, ce sera Mako. Pour ce qui est de combattre… Je me suis déjà assez fait remarquer comme ça. Disait-il tout en pointant la foule qui les regardait avec des regards d’effrois mêlée a de l’admiration. Je pense qu’on peut se permettre d’attendre un peu que la situation se pose… Ce serait dommage d’avoir à combattre avec autant de monde autour.

Le brun posa ses yeux sur elle, cette fois sans arrière pensée, et se mit à poursuivre. ▬ Tu as parlé de quelques comptes à régler, le mieux c’est que tu règles tes affaires avant de t’occuper des miennes… Après tout, j’ai tout à gagner à attaquer des voleurs… Tandis que toi, si tu ne récupères pas vite tes affaires, tu risque de ne plus jamais les revoir. Au fur et à mesure de sa phrase, un sourire terrifiant prenait place sur le visage de Makoto… Et puis… Il à parlé du marché non ? C’est que j’ai deux trois truc à régler sur place également… Une pierre deux coups, qu’est-ce que tu en dis ?

En réalité il ne lui laissait pas réellement le choix, après tout, c’était l’occasion rêvée de secouer ce vendeur d’alcool malicieux qui s’était joué du brun en lui vendant de la merde au prix fort. C’était suite à cette phrase que les deux victimes des voleurs de ce royaume firent demi-tour, quittant la route menant au fond des taudis pour retourner en ville, le marché leur tendait les bras.

▬ Haylen c’est ça ? Ça ne ressemble pas vraiment à un nom d’ici… Quitte à voyager ensemble, même une courte période, le brun se disait mieux qu’il valait mieux faire connaissance un minimum. Tu viens d’où ? Si ce n’est pas trop indiscret… Enfin, étant donné que tu te dandinais à coté de moi à moitié nue, ça ne devrait pas l’être.

Un rire gras s’échappait de la bouche de Makoto comme pour briser cette atmosphère froide qui s’était instaurée depuis leur rencontre… Il est vrai que depuis la première fois qu’ils se sont rencontrés, le brun n’avait fait qu’enchaîner bêtises sur bêtises laissant présager qu’il n’était peut être pas ce gars bien qu’il aimait prétendre être.

☼ Changement de plan.







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Mar 10 Jan - 13:38

Même s’ils s’étaient trompés de personne, Haylen réussit tout de même à le faire parler. Les gens racontaient tous qu’il y avait d’un nouveau groupe de délinquants dans la ville. Pour la grande dame, ces informations étaient largement suffisantes mais pour le petit brun… C’était le contraire. Il insista un peu plus afin de lui tirer les vers du nez. Il n’est pas faux qu’à cause de la crainte, l’inconnu cache des choses à propos de ce petit groupe. Hélas, il n’en n’apprit pas davantage et la jeune femme s’impatientait légèrement. Il ne fallait pas trainer plus longtemps ici après tout, ils avaient assez diverti la foule. Son coéquipier du jour jeta sa cigarette et la suivit. « C’est la fin du spectacle » s’exclama la blonde auprès de leurs spectateurs. Les Hommes sont décidemment trop curieux. Haylen détourna le regard lorsque son interlocuteur lui fit un compliment. C’était encore quelque chose de compliqué pour elle. Accepter les compliments d’un homme était une chose difficile. Il changea ensuite de sujet évoquant ainsi l’idée de s’occuper d’abord des affaires de la dame.

- Tu as raison, de toute manière ça ne prendra pas beaucoup de temps. Celui qui m’a volé est un lâche.

Makoto était un gars plutôt sympathique mais il parlait vraiment beaucoup. Il avait tendance à être légèrement lourd avec ses rires gras. Haylen allait devoir supporter sa présence mais en réfléchissant bien, il était plutôt rigolo et la journée n’allait pas être ennuyeuse. Elle se forçait à ne pas sourire afin d’éviter tout comportement trop amical. Cependant, la grande dame ne savait certainement pas mentir et il fallait vraiment être aveugle pour ne pas remarquer qu’elle était plutôt amusée et flattée par cet étrange personnage. Les deux individus se dirigèrent à présent vers le marché afin que la médecin puisse récupérer ses biens. Ils entamèrent alors une discussion, Mako était un jeune homme très curieux se questionnant ainsi sur les origines de son interlocutrice.

- Non c’est vrai, c’est un prénom inspiré du nouveau monde mais je viens d’une petite ville sur East Blue. J’ai surtout grandis à Goa et ta tête me dit quelque chose. J’avais une clinique là-bas, je suis médecin.

La discussion faisait passer le temps plus vite. Ils arrivèrent alors au marché, bondé de monde. La première partie semblait tout à faire réglo. Rien de très particulier à trouver mis à part de la nourriture et quelques babioles. Haylen suivit alors son instinct et pénétra plus profondément dans cet endroit bondé de monde. Il fallait faire attention car les enfants volaient et les marchants leur couraient après. Il y avait de quoi se faire bousculer mais hélas ou heureusement pour eux, ils n’avaient plus rien sur eux. Tels des idiots ivrognes qui se sont fait volés comme des bleus. La grande dame se fit bousculer et attrapa un gosse par le col. Il avait volé de la nourriture, décidément, délinquance ou famine ? Drôle de ville, les clochards n’étaient pas son truc du tout. Cependant, la blonde ne se préoccupait pas du gosse qu’elle lâcha quelques secondes plus tard. Elle fixait un homme, oui c’était lui. Le gars qui lui avait fait de l’ombre quelques heures plus tôt. Il se sentit observer et sans chercher en comprendre, il s’enfuit comme un lâche avec dans les mains, toutes les fringues de la jeune femme dans lesquels se trouvaient son argent et autres objets précieux.

- C’est lui !

Haylen fonça immédiatement sur lui mais il connaissait bien mieux les lieux. Il arrivait à courir dans la foule comme si de rien n’était alors que la jeune femme elle, galérait complètement et avait du mal à le rattraper. Elle le perdait presque de vue et son pouvoir ne pouvait pas l’aider à aller plus vite bien au contraire. La blonde finit par avancer comme une bourrine et poussa des gens. Elle choppa de justesse le haut du voleur et le plaqua contre un mur dans une ruelle calme et vide de monde. Son regard était noir, elle ne comptait pas le laisser s’échapper aussi facilement, puis en tant que voleur, il savait peut-être des trucs sur ce fameux groupe qui sait. Ce serait une coïncidence de malade mais il fallait tenter, pourquoi pas ?

- Ah bah alors, on vole les affaires d’une jeune femme ?
- Lâchez-moi !!

Le voleur n’avait pas froid aux yeux. Il sortit un couteau de sa poche et tenta de le planter dans le ventre de notre dame. Hélas pour lui, elle fut plus rapide que lui. Ne voulant pas utiliser son pouvoir, Haylen se contenta de reproduire ce qui lui avait appris Alexander. Elle le désarma sans trop de difficulté mais le voleur avait plus d’un tour dans son sac. Il la mordit et cette fois-ci, elle n’eut pas le temps de se défendre. Ce sac à merde l’avait carrément croqué jusqu’au sang et par pur réflexe, la blonde lui décrocha une sacrée droite. Un filet de sang s’échappa du nez de l’adversaire. Puis il rampa rapidement dans la ruelle et échappa à la belle en entrant dans par la fenêtre d’une résidence. La jeune rattrapa seulement sa veste dans laquelle se trouvaient ses objets le plus précieux. Il y avait ainsi tout sauf son argent mais elle ne comptait pas le laisser s’échapper aussi facilement sans avoir reçu une bonne raclée. Puis après tout, il savait peut-être quelque chose sur le groupe de voleur. Elle l’enfila tout en lui courant après et passant à son tour par la fenêtre. Il courait vite ce connard ! Ce n’était pas évident de courir après lui et de le rattraper. Haylen ne faisait même plus attention à Mako, elle agissait avec son instinct. Elle ne voulait pas le perdre de vue quitte à agir bêtement mais elle avait besoin de l’aide de quelqu’un d’autre pour cerner ce voleur et l’empêcher d’aller plus loin. Elle fit un signe au brun au cas où il serait encore là pour lui indiquer la direction qu’elle allait prendre. Le but était donc de l’encercler et enfin le mettre à terre.
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Mer 11 Jan - 3:17
Un requin dans l'aquarium - Bénéfices.
Haylen Goldchild

☼ Le monde est petit.

Cette escapade sur Alabasta semblait se profiler d'une manière bien plus intéressante qu'elle ne l'était auparavant. Le hasard faisait bien les choses, que deux personnes originaires de l'île de Dawn se rencontrent aussi loin de chez eux, était un miracle en soit. Makoto répondit d'un sourire léger. — Goa ? J'ai traîné par la bas pendant ma jeunesse. C'est étonnant qu'on soit là, aussi loin de chez nous. Il haussa les épaules avant de pousser un soupir. « Chez soi » en réalité, c'était un mensonge dans le quel il aimait se réfugier. — Pour ce qui est de toi, non, ta tête ne me dit rien, autrement j'aurais tâché de m'en souvenir. Après tout, les cliniques et le corps hospitalier en général m'ont toujours fait flipper... Vous et vos seringues énormes !
Il riait du plus profond de son âme, ouais, dur à croire qu'un type comme lui puisse avoir peur d'une simple petite seringue.

Enfin, la discussion faisait passer le temps, bien que le brun semblait étaler sa vie, racontant les divers passage à tabacs qu'il s'était pris à l'époque ou il vivait dans cette décharge sans réellement laisser une quelconque opportunité de réponse à la demoiselle. Celle-ci semblait dissimuler tant bien que mal quelque chose. Après tout, ils n'étaient que deux inconnus qui venaient de se rencontrer, comment pourrait-elle déballer sa vie avec autant d'aisance que cet attardé de Makoto ? Une femme a besoin d'avoir un peu de vie privée, c'était ce qu'il se disait pendant qu'il déballait son monologue.

C'est après anecdote inutile sur anecdote inutile que les portes du marché leur tendit les bras, avec elles, l'odeur des échoppes d'épices et celles des parfumeries commençait à chatouiller l'odorat du brun. Immédiatement après, il s’arrêta de parler pour analyser attentivement les alentours, tout les deux étaient là pour une raison, une bonne. Haylen, cherchait à retrouver l'homme qui lui avait dérobé ses affaires, et accessoirement son argent. Tandis que Makoto lui, cherchait du coin de l'oeil l'échoppe ou le prétendu escroc lui avait vendu l'alcool qui l'avait fait tomber dans les vapes.

Si ça ne tenais qu'à lui, il aurait sûrement rasé la moitié de ce foutoir histoire d'y voir plus clair... mais vous l'avez déjà lu quelques postes plus haut. On lui avait interdit de foutre la merde ici. Après tout, c'était un territoire du Nouvel Ordre, quel intérêt de tout casser ici ? — Ah... j'espère pour toi que je vais récupérer tout mon argent, sinon tu vas m'entendre. Se disait-il tout en poursuivant ses recherches, balayant du regard le marché.

La voix de la blonde le tira hors de ses pensées, elle semblait avoir reconnu l'un des types qui étaient à ses cotés au moment du vol, et sans perdre une seconde elle se lança à sa poursuite. Makoto haussa les épaules, après tout, c'était son problème et sans plus tarder, il se remit à a recherche de ce vendeur d'alcool. Le marché semblait bien plus bondé que ce matin, et la nuit commençait à se faire voir. Il fallait qu'il le retrouve, les voleurs pouvaient bien attendre encore un peu. — Bingo ! Disait Makoto, son regard venait de se poser sur une boutique avec un vendeur étrangement similaire à l'image qu'il se faisait de lui dans ses souvenirs. Un sourire carnassier faisait son apparition sur le visage du voyou, le pauvre allait passer un sale quart d'heure.

☼ Comme on se retrouves..

Il s'approchait, doucement ; sans attirer l'attention, l'air de dire qu'il était juste en visite, pour choper une chaise, un stand avant celui concerné. — Salut mon vieux, tu me reconnais ? Disait-il à l'intention du vendeur d'alcool, choqué de le revoir ici. Il posa la chaise devant l'échoppe et s'assit dessus comme un prince. — Voilà ma proposition, des indications sur tes potes qui m'ont volé mon fric en échange de ta vie et celle de ton échoppe... Oh... Et ne te méprends pas, ce n'est pas un marché, c'est une faveur que je te fais.

Le vendeur était en sueur, il savait qu'il était à la merci de celui qu'il avait arnaqué quelques heures plus tôt. Immédiatement, son attitude changea — Mon prince, vous êtes si bon ! Bien entendu, moi vôtre humble serviteur Ahman Ben Salad, vous dira tout ce dont vous avez besoin de savoir à propos de ces forbans... Puis-je vous proposer quelque chose à vous mettre sous la dent pour patienter. D'un geste de main, le brun lui fit comprendre qu'il pouvait faire ce qu'il voulait. Son regard se portait désormais au loin dans le marché, cherchant la blonde du regard... Avait-elle des ennuis ? Nan, après tout, si elle s'était débrouillé pour pouvoir se rendre aussi loin elle devait forcement savoir s'y prendre un minimum.

Tandis qu'il tapait dans une assiette de pâtisseries locales, le vendeur lui disait tout ce dont il avait besoin de savoir au sujet de cette bande de voleurs. L'endroit ou ils se cachaient, le mode opératoire de ceux-ci ainsi que le nom du chef. Makoto souriait, il lui parlait comme à un toutou qui venait d'apprendre à se tenir sur ses pattes arrières. — Bien bien... Maintenant, j'ai besoin de savoir autre chose. J'ai une connaissance qui s'est faite dérobée ses affaires par un type plutôt pas net... Ou est-ce que je peux le trouver ? À ça, il répondit en pointant du doigt un homme qui tentait de prendre la fuite, précédé d'une blonde qui semblait s'essouffler.

Un nouveau soupir s'échappa de la bouche du brun qui immédiatement se mit en position. — Hell... Drifter — Une impulsion suivie d'une trainée de flammes propulsa le brun à une vitesse folle en direction de l'homme désigné par le marchand. L'action fut brève, et la sentence fut expéditive. Il plaqua l'individu au sol de toute ses forces, lui faisant goûter la poussière et par la même occasion, son genou. — Ah bah bravo, t'as pas honte de voler les affa... Il s'était stoppé net pendant sa phrase, constatant qu'une liasse de billet dépassait de la poche de ce type, il se l'était approprié dans la plus grande des discrétion... après tout, c'était une sorte de compensation. — De voler les affaires d'une femme ? Et de la faire courir en plus ? T'es vraiment un sale type... Hehehe. Son genou s'abattit une nouvelle fois, bien plus brutalement cette fois-ci, sur l'arrière crâne du voleur. Il était tombé dans les pommes, plus de témoin potentiel de cette manière.

Il faisait un grand geste à la blonde qui arriva quelques secondes après.— Bon, bah... on peut dire que ton affaire est réglée !

☼ C'est un secret.





HRP:

Makoto parle en #CE5022
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Lun 16 Jan - 10:52

La jeune femme venait de faire un signe dans le vent, Mako n’était plus derrière elle depuis un bon moment. Elle pensait devoir se débrouiller seule en courant après le voleur qu’elle réussit presque à rattraper. Au moment où ses doigts frôlèrent le vêtement de délinquant, des flammes la rattrapèrent. Oui, il s’agissait de l’homme au logia que Haylen craint le plus. Il s’était propulsé à une vitesse phénoménale et plaqua ainsi l’ennemi de la grande dame au sol. Cette dernière avait quelques secondes de retard. Makoto venait d’assommer ce pauvre homme. En tant que médecin, la blonde s’assura qu’il était toujours en vie. Rien de grave, il avait juste perdu connaissance. Dans une petite demi-heure, il se réveillera avec un gros mal de crâne. A cause de son petit retard, Haylen ne put remarquer que son coéquipier du jour déroba une liasse de billet. Elle récupéra simplement toutes ses fringues et se rhabilla comme il se doit. Le docteur vérifia qu’il y avait toutes ses affaires, oui, il y avait tout sauf peut-être des billets en moins. Elle se dit alors que le voyou avait sûrement déjà tout dépenser. Rien à faire ! Elle peut avoir autant de fric qu’elle le souhaite.

- Merci, grâce à toi j’ai récupéré le plus important.

La grande dame n’étant pas un monstre, elle déplaça le corps inerte du voleur dans un coin plus tranquille afin qu’il ne lui arrive pas malheur. Haylen ne voulait pas avoir la milice de cette ville aux fesses. Ce serait lourdement dérangeant. La mission suivante allait être bien plus difficile car les voleurs de Makoto étaient bien plus expérimentés que ce simplet. Le trésor vivant était prête à enquêter maintenant qu’elle avait retrouvé ses affaires de lady.

- Il n’y a plus que ton argent à retrouver. As-tu trouvé des informations ?

La blonde croisa ses bras et fixait à présent son interlocuteur. Elle attendait une réponse de sa part afin de ne pas retourner aux mêmes endroits et perdre du temps. En regardant de plus près, elle remarqua comme une liasse de billets bien planquée dans les vêtements de Makoto. Il venait vraisemblablement de se servir dans les poches du voleur. Le médecin souffla mais se tût. Il n’était pas nécessaire d’en faire tout un ratatouin. Après tout, l’argent ne lui manquait pas. Mais alors qu’elle attendait sagement des réponses, le duo allait assister à une réunion un peu particulière dans ces lieux abandonnés. Trois hommes lourdement armés étaient en train de discuter plus loin. Bien plus loin mais l’ouïe de la jeune femme était assez fine pour les entendre. Haylen fit signe à Makoto de se taire. Cet endroit était en ruine, ce n’était qu’un vieil immeuble désaffecté pratique pour semer les autorités et se cacher. Elle s’approcha doucement en suivant le bruit. Il s’agissait bien de trois hommes, très costauds, bien plus grands que la jeune femme, en train de s’échanger des butins.

- J’ai déjà tout dépensé ce que j’ai trouvé sur ce pecno ! Avec tout ce fric, on va pouvoir enfin s’acheter plus d’armes et attaquer le palais.


Haylen se cachait bien derrière une poutre. Elle observait tous leurs faits et gestes. Il ne fallait surtout pas se jeter comme des bourrins dessus. Les suivre pourrait leur rapporter bien plus gros. La dame fit signe à son coéquipier de jeter un coup d’œil discrètement vérifier si une tête ne lui disait pas quelque chose.
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Dim 22 Jan - 0:10
Un requin dans l'aquarium - Déficit.
Haylen Goldchild

☼ Secunda Etapa

Disons que tout s'était passé comme prévu, la blondinette avait récupéré ses affaires... Bien qu'une liasse avait « mystérieusement » disparue. Il en était convenu que cette affaire était réglée... Le crépuscule se faisait voir désormais. Remplaçant la vive couleur du soleil par une lueur orangée se déposant sur les paroi des murs. Cette fille semblait être quelqu'un de bien à première vue, Makoto ne voyais pas l'ombre d'une potentielle menace en la personne d'Haylen... et pourtant, il avait pour habitude de mépriser tout ceux qu'il croise habituellement.

Cependant, l'heure n'était pas à l'admiration, comme l'avait souligné la jeune demoiselle, il était temps de se mettre à la recherche des bandits... Cela dit, un regard déplacé se fit ressentir et provoqua un moment de gêne pour le brun.. — Quoi ? Depuis quand voler un voleur est un crime ? Répondait-il avant même de lancer une quelconque information au sujet du repaire de bandit. Une goute de sueur avait accompagné la fin de sa phrase, peut être que l'argent dérobé lui appartenait... Enfin, de toute manière le mal était fait il n'y avait aucune raison de retourner du coté de l'honnêteté !

Il déballait alors toutes les informations* que le vendeur lui avait donné au sujet de cette bande de bandit qui sévissaient dans les rues d'Alabasta. Le lieu ou ils se réunissaient le soir, la façon et surtout... leur nombre, une pointe de sérieux vint ponctuer ce passage la des explications. Makoto appuyais sur le fait qu'il valait mieux être discret et user d'un stratagème pour se faufiler à l'intérieur de leur repaire... autrement, ils auront le temps de s'enfuir avec le pactole du brun, et ça, ce n'était pas envisageable.

La blonde, malgré une inaptitude remarquable à capturer un voyou des bacs à sables semblait néanmoins avoir une ouïe plutôt développée, pour cause, elle avait entendu du bruit du côté d'un bâtiment désaffecté. Immédiatement, Makoto se tut et enclencha une démarche discrète – le plus qu'il pouvait – derrière la demoiselle. Et effectivement, il y avait bel et bien une troupe de bandit, bien trop équipé pour être des débutants.

Les trois gus discutaient d'un type qu'ils avaient dépossédés de ses biens... Cependant, Makoto n'arrivait pas à se souvenir de ces types, ni leurs voix, ni leurs visages... après tout, il était ivre mort au moment ou il s'était fait volé ses affaires. — Tâchons de les suivre discrètement jusqu'à leur repaire. Souffla Makoto à l'intention d'Haylen qui semblait se porter au jeu avec bien trop d'enthousiasme. Il prit les devants cette fois-ci, attendant que les bandits se mettent en marche afin de les filer discrètement. Le duo de choc était en marche, se cachant derrière tout les obstacles imaginables jusqu'à finalement poser les yeux sur une bâtisse délabrée... — Alors c'est « ça » le terrible repaire des bandits ? Ce vieux marchant m'a pourtant juré qu'ils étaient des dizaines ! Du coup, c'est quoi le plan ?

☼ Opérations.



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Mar 24 Jan - 12:13

Les voilà à présent en train d’observer des individus un peu trop louche. Leur plan était plutôt sombre mais cela ne les avançait strictement sur l’argent volé. Etaient-ce ceux qui avaient dépouillé le jeune Makoto ? Ce dernier ne semblait pas très réactif, cela ne devait pas lui rappeler grand-chose. Cependant, l’homme proposa de les suivre discrètement. Très bonne idée, ce sera toujours mieux que de rester planter là à enquêter. Ils étaient pour le moment les plus suspects de tous.

Accompagnée de Makoto, Goldchild traversa discrètement le chemin ouvert pas les trois intrus. Il s’arrêtèrent devant une bâtisse totalement en ruine. Cela ressemblait à la description que leur avait donnée le pervers. Le brun évoqua les paroles d’un marchand, selon lui, ils étaient censés être plus d’une dizaine. Les délinquants entrèrent dans cette ruine, ils y avaient installé de quoi se mettre un peu à l’aise pour discuter de plan futur. Makoto demanda le plan, Haylen eut une idée. Une idée très risquée mais qui leur permettrait d’entrer en toute sécurité et identifier le nombre d’ennemis. Toutes les fenêtres étaient fermées ou recouverte d’un drap. Les portes étaient condamnées sauf celle de l’entrée, impossible d’ouvrir quoi que ce soit de l’extérieur. Il fallait d’abord entrer pour ouvrir un passage plus discret.

- Mmmh, j’ai une idée. Il me faut une sorte de coffre.

La blonde observa ce qui se trouvait autours d’elle. Les déchets étaient nombreux. Tout ça devait être les déchets des habitants, des meubles à recycler ou tout simplement abandonnés à tout jamais. Haylen repéra cependant un coffre à jouet en bois. Il était un petit peu petit mais avec un peu de souplesse ça passera ! La jeune femme partit dans sa direction et l’ouvrit. A l’intérieur, il y avait de vieux jouets. Elle le vida très rapidement sans attirer l’attention des bandits. Puis elle le testa en y entrant. C’était très étriqué, il fallait s’allonger et plier les jambes. Un petit coup de dépoussiérage et le tour était joué. Haylen teste quelques minutes le coffre, c’était une grande dame donc plutôt lourde. Il fallait que ça tienne le choc. Makoto devait certainement se demander ce qu’elle trafiquait dans un coffre. Ce n’était pas le moment de jouer mais la blonde ne jouait pas non… Elle imagina un plan plus intelligent mais qui la mettrait très certainement en danger. Le brun put enfin la voir se relever du coffre, elle avait trouvé sa position. La docteur fixa son coéquipier et lui expliqua désormais le plan.

- Tu vas te pointer avec ce coffre et tu vas taper à la porte pour qu’ils ouvrent. Je serais à l’intérieur et ne t’inquiète pas, je vais devenir une statue.

Sous les yeux de Makoto, la grande dame se recouvra entièrement d’or. Elle s’allongea dans la position qu’elle trouva quelques minutes plus tôt et ne bougea plus d’un cil. Haylen était plutôt bonne actrice. Elle ferma les yeux et ne bougea plus d’un poil. Même sa respiration était difficile à percuter. Elle finit ensuite ses explications avant de demander au jeune homme de refermer le coffre.

- Une fois que je serai à l’intérieur, je t’ouvrirais une fenêtre. Comme ça, il n’y a rien à casser et on s’y incrustera discrètement. Entre temps, je vais pouvoir observer combien ils sont. Alors ça te convient ? Si oui, ferme le coffre et c’est partit. Et oh, si tu as une capuche n’hésite pas à la remettre. Ce serait dommage de te faire repérer.


Si Makoto avait un plan plus ingénieux que ça, c’était le moment ou jamais de le déballer ! Haylen n’était pas franchement rassurée car montrer son pouvoir c’était se faire de nouveaux ennemis. Aider Makoto lui tenait pourtant à cœur. C’était une personne plutôt agréable et cela occupait bien sa journée. Elle sentait qu’elle pouvait peut-être lui faire confiance et Haylen tenait toujours ses promesses. Elle espérait juste qu’Alexander revienne vite pour se sentir en sécurité car il n’y avait qu’avec lui qu’elle se sentait réellement bien. A présent, la grande dame se transforma en une grande statue d'or en position de repos, dans un sommeil profond. Cela était beau et qui refuserait une telle sculpture d'une valeur inestimable ?
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Lun 6 Fév - 7:58
Un requin dans l'aquarium - Quelques millions de pesos.
Haylen Goldchild

☼ Débris. 

Bien, ils étaient désormais sur place, attendant un détail qui pourrait trahir le mode de fonctionnement de ces voleurs sans foi ni loi. L'ambiance des lieux, quant à eux, respectaient bien l'idée que Makoto se faisait d'un repaire de bandits. Aucun bruit, hormis celui du vent fouettant le sol sableux, personne dans les alentours, un bâtiment au fenêtres barricadées... C'était vraiment trop cool pour pouvoir être vrai ! Chez lui, les voleurs vivaient dans des châteaux et se pavanaient en costard... Cette pensée lui fit décrocher un petit sourire. Comparer les arrogants nobles à ces types là était une insulte bien trop grande pour une simple bande de type qui s'amusaient à faucher les gens.

Et malheureusement, pour eux, c'était la fois de trop. J'veux dire, Makoto avait-il un impact aussi inefficace sur le reste du faubourg ? Il avait pourtant bien craché des flammes de partout pour se rendre intéressant, comme à son habitude. Et pourtant, rien n'y faisait. Personne ne semblait parler de ça au alentours, comme s'il n'était qu'un grain de sable dans ce grand désert qu'était le royaume d'Alabasta. Peu importe, se disait-il, de toute manière, il n'avait qu'à récupérer son argent et profiter de ses vacances jusqu'à-ce qu'on l'appelle pour un futur contrat.

Son œil chassa légèrement vers là ou se trouvait son acolyte de la journée... Ouais, rappelez vous, cette blondinette qui s'était mise à cavaler derrière un type qui connaissait son pays beaucoup mieux qu'elle. Heheh. Enfin... se trouvait... ou est-ce qu'elle était parti ? Elle n'était plus là, du moins, plus au cotés du brun. Elle semblait avoir tapé l'éclipse qu'elle méritait de taper, de toute manière, ce gus l'avait dépouillé sans scrupule, jugeant qu'un paquet de fric irait mieux dans ses poches que dans les siennes !

Ça aurait pu être crédible, jusqu'au moment ou elle revint finalement, alors un soupir de soulagement refit son apparition. Ajouter un nouvel ennemi dans sa liste n'était peut être pas dans ses priorités pour cette fois. Après tout, ils étaient finalement devant la planque des bandits à attendre comme des prédateurs.
Prédateurs oui, mais prédateurs malins ! Du moins pour Haylen, qui était venu avec un stratagèmes des plus ingénieux, l'enfermer dans un coffre et la vendre au bandits, récupérer son fric et la laisser se démerder par la suite.

Attends... quoi ? Une statue ? Le brun fut plongé dans une légère séance de réflexion qui pour lui dura des heures. Comment ça ? Comment comptait-elle faire ? Peut être qu'elle avait une statue dans la poche ? Non, elle aussi s'était faite dépouillée — AAAAAAAH ! Un long cri manquant d'oxygène s'échappa de la bouche du brun... Devant lui venait d'apparaitre de l'or pur, l'objet de sa convoitise éternelle... Imaginez le paquet de fric qu'il pouvait se faire avec tout ça. Immédiatement, il se mit à compter les bénéfices alors qu'elle se mettait à expliquer le plan d'action. Ne comprenant que des bribes de phrases alors que ses yeux se plongeaient dans le reflet scintillant de cette matière, le brun agit instinctivement, fermant le coffre avant même qu'elle n'aie fini de parler.
Il avait un choix difficile à faire désormais... Trahir sa volonté d'agir de façon honnête en se carapatant illico avec un coffre d'une valeur estimée à plus d'une dizaine de million de berry... ou bien récupérer son argent comme tout était prévu a la base.

Il haussait les épaules et se mit à trainer ce coffre jusqu'à l'entrée de la planque des vilains pas bô. Se permettant même de commenter le poids de la jeune dame qui semblait trahir sa fine silhouette. Porte enfoncée – N'oubliez pas que c'est Makoto tout de même – Le brun se mit à hurler comme un damné qu'il avait de l'or à revendre.

Première règle d'une troupe de voyous qui cherchent à s'en mettre plein les poches. Toujours tenter de négocier le prix. C'était la première étape pour savoir jusqu'à combien ils étaient prêt à mettre... et donc, combien d'argent les bandits possédaient réellement sur place. En terme de langage monétaire, Makoto était sûrement l'homme avec qui discuter afin de ne pas se faire arnaquer sur les prix pratiqués dans le marché de l'illégal.

Et deuxième règle d'une troupe de voyous qui cherchent à s'en mettre plein les poches. Pratiquer l'art de l'intimidation... Ça ils le faisaient bien, même cette pauvre fille dans sa boite devait entendre le ton ferme employé par celui qui semblait être l'un des leaders de ce groupe de voleurs. Makoto lui, se contentait de répondre, comme d'habitude, avec l'arrogance dont il faisait preuve au quotidien. Et ça, ça avait le don de les énerver.

Déjà qu'ils ne comprenaient pas comment Makoto s'était démené pour se rendre au beau milieu de leur repaire... était-ce un indic ? Peut être qu'il faisait parti d'une bande rivale ? Tout un tas de questions qui ne fit que ralentir toute cette mise en scène. — C'que j'aurais aimé être à ta place. Chuchotait le brun à l'intention d'Haylen dans la boite. T'imagines pas, ils sont aussi con qu'une bande de... de.. euh.. t'as capté.
Le temps passait et les questions qu'ils se posaient ne faisaient qu'accroître. Peut être qu'ils ne cherchaient même plus à acheter l'or proposé par le brun. Mais vous savez, celui qui l'avait jadis formé à devenir l'homme de main qu'il était aujourd'hui lui avait appris une chose. Parfois, l’honnêteté pouvait fonctionner pour débloquer une situation.

Le brun s'éloignait légèrement du coffre à jouet, suivi du regard par quelques bandits un peu trop suspicieux, cherchant une pierre, la plus grosse qu'il pouvait trouver... et son bonheur se présenta à lui. Un type, qui s'appelait Pierre... du moins c'était ce qui était écris sur son badge.. Putain c'est des bandits ou c'est juste le narrateur qui n'avait plus de solutions ? Enfin, ce « Pierre » allait être d'une grande aide. Coup de coude placé sur la nuque, le gus parti visiter le pays de Morphée pour quelques heures, ce qui laissait à Makoto le temps de manipuler ce gars.

— Bon, il est temps de tout vous dire bande de cons. J'me présente. Mako, mais pour vous les nazes ça sera... Tonton. Disait le brun alors qu'il entrouvrit rapidement la boite afin d'y glisser une petite carte et de rapidement le refermer et de placer Pierre sur le couvercle. Maintenant, j'vous explique le thème. Dans cette boite il y a une femme en or, sans mauvais jeu de mots, d'une valeur de plus d'une dizaine de millions de berrys... peut être plus. Rendez moi mon fric, ou j'vous assure que carnage il y aura.  

Une chose était sûre, c'est que le brun était efficace en termes de menaces... Soit il se faisait attaquer, soit les gens coopéraient.. là, il n'attendait plus qu'une réponse de leur part qui allait peut être sceller leur sort pour de bon.

☼ Ultimatum. 





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Lun 13 Fév - 13:57

Le coéquipier du jour semblait surpris par le pouvoir de la demoiselle. Un long souffle émana de sa bouche et Haylen le fixait. C’était le moment ou jamais de savoir si cet homme était droit ou juste un crétin comme les autres qui allaient tenter de capture le trésor vivant, cette source presque infinie d’or pur. Il referma ensuite le coffre avant même qu’elle ne termine ses explications. Elle souffla à son tour et prit sa position dans son coffre. Durant le trajet, la jeune femme ne s’était pas transformée afin de ne pas épuiser Makoto. Lui infliger le poids imposant de l’or n’était pas une bonne idée. Haylen se demanda tout de même quelques secondes s’il l’emmenait vraiment près des voleurs. Elle eut sa réponse lorsqu’elle entendit Mako ouvrir le dialogue avec eux. Il était donc entré dans le bâtiment comme un bourrin en criant qu’il vendait de l’or. Une technique très instinctive. S’il avait envie de se faire tabasser en plein milieu d’un endroit remplit de ripoux, c’était ce qu’il fallait faire. La blonde se cogna la tête, excédée par cette façon de faire. Par moment elle se demandait ce qu’elle foutait là à l’aider. Elle se réveilla de ses pensées lorsqu’une carte lui tomba sur le nez.

Dans le noir, la chirurgienne ne voyait pas grand-chose. C’était rectangulaire, plutôt rigide mais pas trop, sûrement du carton. En plissant au maximum les yeux, Haylen remarqua qu’il s’agissait d’une carte. Ses yeux de rubis s’écarquillèrent et elle commençait à s’étouffer dans ce coffre. La grande dame avait avalé de travers sa salive. Pourquoi ? Me demanderiez-vous… Tout simplement parce que c’était incompréhensif. Pourquoi une carte ? Makoto comptait-il se faire la mal ? Les neurones de la demoiselle surchauffèrent, la colère lui montait au nez. Est-ce qu’il se fichait d’elle ? Elle entendit ensuite les propos du jeune homme. Il cherchait encore plus les embrouilles avec ce groupe de voleur. Ces derniers tiraient la gueule face au brun. Ils avaient lourdement l’impression qu’ils se foutaient d’eux. D’un autre côté, les bruits qu’ils entendaient depuis tout à l’heure donnait de la cohérence au civil. Il y avait bien quelqu’un dedans et ce quelqu’un allait justement vous détruire les tympans dans quelques secondes.

- TU TE FOUS DE MOIIIII !

Haylen ne comprenait vraiment pas le coup de la carte. Elle commença à s’agit dans la boite mais quelque chose bloquait carrément le couvercle. Quelque chose de bien plus lourd qu’elle. Certainement un corps humain mort ou pas. Peu importe, ce qui comptait désormais était de sortir de là et botter le cul à tout le monde. La blonde était un vrai dragon lorsqu’elle s’énervait la faisant souvent passer pour une figure très maternelle. Elle donna des coups de plus en plus forts et les voleurs ne comprenaient rien. Finalement, le coffre se renversa lorsque la jeune femme se transforma totalement en or. L’homme qui était dessus roula banalement mais continuait sa petite sieste. Haylen roula également toute vêtue d’or. Les yeux des ennemis s’illuminèrent. Ce gamin ne disait pas de connerie ! Et dire qu’ils étaient prêts à lui mettre la misère. L’un d’entre eux se démarqua plus que les autres. Plus grand, plus charismatique, plus costaud, certainement le chef de la bande. Il se mit à rire et semblait heureux comme personne sur cette Terre.

- Ahahaha gamin ! Je croyais que tu te foutais de nous mais tu disais vrai. Tu veux combien ?

La blonde n’écouta même pas les dires des délinquants. Elle se dirigea immédiatement vers Makoto, la carte en main. Elle lui colla limite au nez et attendait désormais des explications. Une scène de ménage se déroulait carrément sous les yeux des voleurs. Le chef s’agaçait beaucoup, il perdait du temps et personne ne l’écoutait. Il était comme invisible et ça le mettait dans tous ses états. Il commençait vraiment à devenir rouge mais la grande dame était dans une fureur bien plus violente que ce malotru. Tout en agitant la carte sous les yeux de son « coéquipier » la jeune femme continuait de taper sa crise telle une mère sur son enfant. Son regard était noir, limite terrifiant, il en disait long sur son état d'esprit.

- Pourquoi tu as glissé ça dedans ??? Tu comptais te barrer hein ? Ou alors tu te fous de ma poire ?


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Lun 13 Fév - 21:06
Un requin dans l'aquarium - L'offre.
Haylen Goldchild

☼ Crise. 

Putain, mais qu'est-ce qu'elle fout celle là ? Pourquoi s'agitait elle autant dans cette foutue boite ? J'veux dire, y'avait rien de mal à être enfermée la dedans... ah, oui, le problème était sûrement le fait qu'elle était enfermée dedans contre son gré... Pour le moment, Pierre semblait bien faire son travail, étalant son poids mort sur le coffre. Mais tout n'était qu'une question de temps avant qu'elle ne s'éch.. Quoi sérieux ? Déjà ? Elle était plutôt vive pour une fillette.

L'éclat étincelant de sa couverture dorée pointait le bout de son nez, s'annonçant comme le messie prophétique de cette assemblée, les bandits commençaient à reprendre confiance en eux, comme s'ils ne pensaient pas qu'il disait la vérité. Putain, ils étaient vraiment à cran sur les façons de faire, un mec qui se pointe comme ça, dans vôtre repaire avec les mains vide ? Faudrait être super con.

Enfin, bien que cela semblait avoir attiré l'oeil du chef de ces bandits, le problème était tout autre. Cette blondinette venait de se transformer en réelle furie. Collant sous le nez du brun, la carte qu'il lui avait gentiment glissé quelques temps auparavant en lui reprochant d'avoir voulu s'enfuir... ce qui n'était pas totalement faux dans un certain sens... Il se laissait faire, sans réellement répondre.  Son regard plongé dans le rubis du sien, il ne disait rien, seul un petit soupir daigna s'échapper de sa bouche. Il fallait réfléchir à comment procéder maintenant que celle-là s'était échappé de son joli coffre à jouets.

D'un geste vif, il se saisit de la carte et d'un habile tour de passe passe, il se démerda pour la glisser discrètement dans la poche de celle-ci. Un énième soupir vint briser la glace alors qu'il était en train de se faire sermonner. Il approchait sa tête, assez prêt pour que les mots prononcés ne puissent être entendu que d'eux seuls. — Écoute... ouais, j'allais me barrer, mais t'as tout foiré j'ai même pas pu récupérer mon fric. Maintenant, si tu veux qu'on s'en sorte avec minimum, le double voir le triple de ce que j'avais dans les poches... laisse toi faire. Un rictus fit son apparition sur son visage alors qu'il poursuivait avec une voix bien plus menaçante cette fois-ci. — Je m'excuse d'avance pour ce qui va se passer, j'te promet que j'aurais une dette envers toi.

Il s'était reculé de quelques centimètres avant de se retourner vers le bandit, constatant qu'il était réellement en train de perdre patience. Rien de bien menaçant cependant, Makoto aurait bien pu lui régler son compte à lui et à toute sa bande, mais ce n'était pas le moment. Pas s'il voulait revoir son argent.

Son regard se posa de nouveau sur la blondinette, mais cette fois-ci, accompagné d'une fulgurante gifle directement venue du cosmos lui même. Il se devait de ne pas se faire manquer de respect pendant une transaction, c'était la règle de la vente au bandits ! Enfin, il ne l'avait pas fait par pur plaisir, bien qu'il aimait ça, son regard semblait s'excuser de lui même et le reste de son visage suivait le mouvement.

Se tournant de nouveau vers le bandit, il se mit à brailler soudainement. — C'qu'elle peut être bruyante celle là ! Bon, messieurs, comme vous avez constaté, cette fille peut produire de l'or à volonté. Si on part du principe que pour vous, c'est la richesse assurée et qu'en plus... bah c'est une femme donc vous pourrez en faire ce qui vous plait c'est pas mon problème... Les enchères commencent à Quarante millions. Et ça, c'est juste parcequ'elle fait du bruit ! Une fois son offre déclarée, il se mit à relever le coffre afin de s'asseoir dessus, gardant près de lui la blonde, afin qu'elle ne se fasse pas prendre dans un piège de bandit... après tout, on était chez eux, qui sait ce qui pouvait arriver.

☼ La dette. 



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