Feuille de personnage Unité de Puissance (UP): 2600 Points de Technique (PT): 60 Équipage:
Hexos Fugit
Dit "La Tempête" | 95,000,000 Berrys
Ven 21 Oct - 3:19
feat Marco.
feat Leon.
「nouveau départ」
L'océan, si vaste si beau, le symbole de la liberté pour bien des hommes, méconnus de nos jours et peut être encore pour longtemps, mais personne ne s'en plaint car tous ceux qui mettent les pieds sur la mer de tous les périls savent à quoi s'attendre. Certains fuis quelques choses, d'autre comme moi recherche mais et surtout tous le monde ici veut la liberté cherchant à l'obtenir pour diverses raisons mais pour le même but. Est-ce là, la clef qui unifiera un jour les hommes ? Je ne pense pas, la liberté des uns commencent là où s'arrêtent celle des autres n'est-ce pas ? Enfin, quoi qu'il en soit, je n'allais pas tarder à arriver à l'endroit indiqué par mon log pose. Je voyais se dessiner l'île à l'horizon et la population de mouette avant considérablement augmenté indiquant la présence d'une côte.
Je me redressais précédemment allongé sur le bois de ma petite embarcation, jetant un regard à l'horizon autour de moi, tout était magnifique, du bleu à perte de vue. Les mains placés par réflexe sur Éole accrochée à ma hanche, je sortais la lame de son fourreau, posant le plat de la lame dans le creux de ma main, un sourire sur les lèvres.
- Nous trouverons.
Fixant mon reflet dans l'acier, je lui parlais comme si ce reflet n'était pas le mien mais l'âme du sabre que je rengainais habilement avant de me mettre vers l'arrière de l'embarcation.
- C'est partit !
Je fis rouler mes épaules avant de les mettre en arrière, repliant mes coudes en ouvrant mes mains paumes vertes face à la voie en face de moi et là d'un mouvement brusque et sec j'envoyais mes deux bras vers l'avant dépliant mes coudes et balançant mes épaules propulsant de par ce mouvement une puissante bourrasque sur la voile ce qui eu pour effet de faire considérablement accélérer le bateau. Posant ma main gauche sur ma tête pour maintenir mon bonnet face à cette considérable accélération, je maintenais le vent contre la voile et la vitesse que j'avais me permettais petit à petit de mieux discerner ce que je voyais, en dehors de la dense forêt tropical, j'apercevais en plein dans ma trajectoire ce qui ressemblait à de l'activité humaine, et je fus très rapidement fixé, c'était une ville avec un port. J'étais bien tombé !
Accostant rapidement, poser mes pieds sur les dalles en pierre d'une ville me faisait du bien et surtout je mourrais de faim. J'avais été à court de provision pendant mon voyage en mer, il faut dire que vu la taille de mon embarcation j'étais obligé de voyager léger et ce n'est pas toujours pratique. Enfin il était désormais temps que je trouve de quoi me remplir l'estomac.
Commençant à déambuler dans les rues de la ville, d'un oeil observateur je commençais à comprendre à quel genre de ville j'avais à faire. La prénommé Mock Town était un nid de pirate, c'est simple il n'y avait quasiment que ça et je n'avais aperçus aucune base de la marine ceci expliquant cela. Je n'étais pas spécialement dérangé par cette idée, cela me permettrait d'être tranquille au moins à moins que l'un d'entre eux viennent m'emmerder même si j'en doutais fortement. Une main toujours posé sur la garde de mon katana, je finis par remarquer quelques choses d'intéressant, il y avait un marchand qui vendait diverses fruit et boisson. Quelques personnes s'étaient par ailleurs déjà agglutiné autours de lui à croire que tous les affamés du coin avaient décidé de se rameuter autour.
Baissant promptement la tête, j'avançais vers la petite foule et commençais à me frayer un chemin à l'intérieur jouant de ma dextérité et de ma taille pour s'immiscer entre les gens les poussant parfois un peu sans faire attention ni m'excuser, j'avais vraiment trop la dalle.
Invité
Invité
Sam 22 Oct - 18:09
different types of roar
Trois semaines s’étaient écoulées depuis que Leon avait pris la fuite. Trois semaines durant lesquelles des saloperies de la marine n’avaient cessé de le pourchasser. Un moment asphyxié, rongé, presque pris aux pièges de leurs assauts incessants, l’Ours avait finalement réussis à se dérober de leurs continuelles et pathétiques chasses. Difficile était la tâche d’abattre une bête telle que lui.
Car après tout, dans quel monde est-ce que la proie traque-t-elle le chasseur ?
Aussi loin que portait le regard du Mink, balayant l'horizon, s’étendait une mer bleue, calme et infinie, jusqu’à que des geysers jaillissent de la surface céruléenne, brisant ainsi le silence. Des monstres, gigantesques dont la gueule était énorme, garnie de plusieurs rangées de dents pourchassés des baleines en fuite. Leon prit le temps de les observer avec attention, sur le pavé du port d'une ville dont il ignorait jusqu’au nom. Ni lui et son imposante présence, ni la grande poursuite au large de l’île n'eu l'air d’inquiéter la foule autour de lui. Il faudra qu’il s’y fasse, baissant ainsi sa garde. Car ici, c'est l'île des pirates, des salops, des troufions et autres criminels. Du plus grand meurtrier de sa génération au plus petit con primé a deux berries, tout y était possible mais surtout, tout y était normal.
La bête rouge esquissa un terrible sourire, léchant avec amusement ses deux longues canines, la frimousse à l’abri sous l’ombre d’une capuche de cuir. Il retint un rire, remontant sa large main griffue contre son museau carré. Il avait écumé le Nouveau Monde à contre-courant à l’aide de deux ou trois équipages assez fou pour tenter l’expérience. Et le voilà sur Jaya, loin de Dessrosa, loin de tout ce qu’il avait connu jusqu’alors. Face à la mer qu’il avait découverte il y a peu, l’animal inspira profondément, bombant son torse de cette fierté qui était sienne. Il ne se retins pas, au contraire, il rugit à plein poumon, déferlant sans gêne les émotions qui l’habitaient. Un énorme « ROAR » venu du tréfonds de son âme alla se perdre à l’horizon, rejoignant la course poursuite marine. Leon se sentait si libre et si fort. Muscles tendus, il se sentait plus vivant que jamais. Ce grognement fini par devenir un rire éclatant et d’un pivot agile, la bête rouge se retourna vers cette ville que l’on nommait ; Mocking Town.
Du beuglement aux rires francs, les ruelles explosaient de vie. Leon cru se revoir au milieu de l’arène, sentant cette tension délicieuse tout autour de lui. Même si il était nouveau dans ce genre d’environnement, n’ayant vécu qu’en cage, le Mink s’y était naturellement habitué. Il avait compris que malgré les kilomètres d’eau qui séparaient les îles les unes des autres, il y avait des choses qui ne changeaient pas.
Se sentant soudainement affamé, l’Ours s’engouffra dans une foule bruyante, ayant repérer d'appétissants amuses gueules. Autour de lui, la bousculade était devenue quelque chose de banale. On se précipitait derechef vers l’avant écrasant ceux se trouvant au premier rang, ce qui impliquait notre cher Leon.
Campait sur ses pieds, la bête rouge se retourna finalement pour s’extirper de cette marre humaine en maugréant, jusqu’à ce qu’un individu vivace ne lui tamponne le bras. Résultat, sa bouffe tomba sur le sol pour finir piétinées. L’œil tremblant, les iris aiguisés d’irritation, le reflex du Mink fut d’attraper le responsable par le col de son vêtement, avant qu'il ne se faufile plus loin. Avec un grognement à faire déguerpir tous les chiens du voisinage, il souleva le gamin jusqu’à ses yeux rouges.
▬ Oh le gamin… Tu te fous de ma gueule là?!
Le ton employé avait été jeté comme un argument de poids, du genre à clore un débat de manière définitive. Ce que Leon espérait ? Pas grand-chose à vrai dire. La bête rouge, facilement à cran, était sortit de la foule avec force, bousculant sans gêne ceux sur son chemin, tenant toujours à bout de bras celui qui lui avait gâché son repas.
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Marco Zapata
Dit "Le Dragon Rouge" | 280, 000, 000 Berrys
Jeu 27 Oct - 16:11
Nouveau Départ
Bien qu'ils aient déjà atteint la fin de la moitié de la route de tous les périls, les Ailes Rouges étaient vraisemblablement retournés sur leurs pas en continuant d'arpenter librement ces eaux hostiles sans atteindre la nouvelle idylle des figures montantes de la piraterie: le Nouveau Monde. Non pas qu'ils n'en étaient pas capables, ou qu'ils ne savaient pas comment s'y rendre, Johny comme Marco s'y étaient déjà rendus dans le passé; mais ce n'était que par pur caprice de leur capitaine. Il ne souhaitait pas y retourner sans un effectif plus diversifié, affirmant qu'il ne peut se permettre d'arpenter les mers du Shin Sekai sans y conduire plus d'âmes libres. L'objectif était de rencontrer des recrues potentielles avant de partir définitivement sur la seconde partie de Grand Line. Et quel est l'endroit le plus à même de lui servir ce genre d'individu? Le capitaine et son second partagèrent un large sourire complice.
▬ Cap sur Mock Town!hurla le capitaine à sa troupe d'un ton qui se voulait amusé.
∴
Une fois sur place, Marco descendit accompagné de son second, d'Ulfric, et d'une dizaine de matelots composant son équipage. A peine arrivé sur les docks que les effluves nauséabondes de rhum, de sueur, de sang et d'urine propre au lieu se faisaient déjà sentir. Bien qu'ils se dissocient des ruffians qui fréquentaient communément le port, les Ailes Rouges se sentaient ici chez eux. Cette liberté d'agir et d'exister ne peut, évidemment, que les séduire! Ils prirent la direction d'un tripot reconnu pour les grandes primes qui le fréquentait; non pas pour alimenter ce fantasme mais bien parce qu'ils y servaient du rhum de qualité que Marco affectionnait particulièrement. Malgré les apparences, Marco était tout de même un nom désormais reconnu parmi les étoiles montantes de la piraterie, et leur avancée jusqu'à la taverne fut accompagnés de messes basses et autres chuchotement, donnant au petit cortège un aspect solennel très loin de leur habitudes.
Le bar était, comme à son habitude, bondé de pirates en tout genre, de la raclure de mer au forban primé; inutile de vous dire que Marco se prit rapidement au jeu. Demandant une bouteille de Rhum au tenancier, grimpant sur une table, il se lança dans une danse ridicule en entonnant une chanson à boire qui fit suivie par la quasi-totalité du bar, sous les rires de ses subordonnés. La raison de leur venue semblait se distiller petit à petit dans l'alcool tandis qu'ils se faisaient de plus en plus bruyants. Bruyants, jusqu'à ce qu'un individu se lève de l'autre côté de la taverne et ne s'adresse à Marco.
▬ Ah, qu'elle est belle la piraterie!hurla-t-il brusquement au milieu des cris.
Toute la salle se tue et se retourna vers lui, imité par le capitaine des Ailes Rouges qui fronça les sourcils en faisant une moue ridicule, paraissant complètement ivre.
▬ Vous n'avez donc pas honte de vous pavaner ici?! Tout le monde est au courant que le grand Dragon Rouge n'a pas pu franchir le Nouveau Monde, devant rebrousser chemin pour errer sur Grand Line comme le ferait n'importe quelle raclure incapable de se prétendre Pirate. Voyez, Messieurs, comment de simples on-dit peuvent bâtir la réputation d'un Homme! Malheureusement pour toi Zapata, Barbe Noire contrôle cette partie du monde, il vous faudra le rejoindre, ou mourir.
Le faciès de Marco n'avait pas bougé d'un pouce, observant silencieusement son interlocuteur. Ce n'était pas le premier pirate ayant rejoint l'armée de Teach qui diffusait sa propagande de terreur sur la route de tous les périls. Ce n'était pas non plus la première fois qu'un pirate discréditait Marco de la sorte en l'insultant, il n'en avait que faire et son équipage le savait. Il descendit de son perchoir en faisant silencieusement face à lui, bouteille à la main.
▬ L'âge d'or de la Piraterie est terminée, l'ère de Barbe Noire ne fait que commencer! Et votre génération sera la première à le comprendre!
▬ Ne compte pas sur moi pour participer à vos querelles inutiles, gamin.répondit Marco d'un air détaché
▬ Tss.. Enfoiré..grogna-t-il, outré par le comportement du Dragon Rouge.
Dégainant rapidement un couteau de sa ceinture, le pirate de Barbe Noire se rua sur Marco d'un bond pour lui trancher la gorge. Ou tenter de lui trancher la gorge. Car c'était sans compter Moustache qui, malgré sa taille et sa carrure imposante, apparut comme de nulle part entre lui et Marco qui n'avait pas bougé le moindre muscle. Avec une puissance inouïe, il lui encastra le plat du pied dans le visage, le projetant de l'autre côté de la salle à une vitesse folle, traversant le mur dans un bruit de détonation semblable à un coup de canon, avant de s'écraser lourdement dans la rue extérieure. Ulfric le suivit en marchant lentement, passant par le trou immense qu'il venait de causer.
▬ Conneries que tu racontes ne pas intéresser Capitaine. Mais si tu oser toucher Capitaine, mort s'abattre sur toi.lui dit-il calmement, l'observant de haut.
L'assemblée était bouche bée. Non seulement les soiffards de la taverne présent depuis le début de l'altercation, mais aussi les passants de la rue qui, bien qu'ils soient habitués aux bastons et règlements de compte, ne s'attendait pas à voir un homme passer aussi lourdement à travers un mur, et encore moins un colosse comme Ulfric apparaître. Marco, lui, venait de remplir sa bouteille vide, comme si rien ne se passait sous ses yeux.
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Hexos Fugit
Dit "La Tempête" | 95,000,000 Berrys
Jeu 27 Oct - 17:12
La justice n'est rien - l'honneur est tout.
Nouveau départ..
feat Léon & Marco
Je déteste les surplus de foule, c'est incroyable et quand je suis irrité par ça je fais pas attention et visiblement mon manque d'attention ne semble pas plaire dans une ville de pirate. Je sens une forte poigne saisir mon col juste après le choc précédent, une odeur de bouffe rôde au niveau de mes pieds et j'ai l'impression que le sol à changer de consistance. Mon corps décolle du sol et je me retrouve nez à nez avec une gueule ouverte munis d'énorme croc qui me gueule dessus me demandant si je me fout de sa gueule. D'abord un peu surpris par l'acte, mon visage n'exprime aucun étonnant pour autant, je reste stoïque immobile alors qu'il sort de la foule en me soulevant par la force d'un bras. Mon regard dérive vers le sien, sur la route j'ai vu de la bouffe par terre, j'ai du le bousculer et voilà le résultat. Enfin, ça commence déjà à me taper sur les nerfs, son haleine de bête n'est pas des plus agréable surtout à cette distance et cette manière qu'il a de me saisir et de me regarder, je n'aime pas ça du tout. Mon corps est ballant, même ma tête penche un peu vers l'arrière comme un pantin désarticulé je ne cherche pas à résister ni à opposer de force contraire à la sienne. Alors je prends la parole à voix basse m'adressat à lui.
- Les hostilités semblent avoir co..
Je suis coupé dans ma phrase par un bruit sourd, un bruit de fracas semblable à celui d'un boulet de canon tiré à bout portant, un nuage de poussière des éclats de pierre et la foule qui se sépare. Mon regard dérive rapidement vers la zone. Je ne rêve pas là, un homme viens de traverser un mur ? Et un autre homme sortait du trou récemment apparus, enfin un homme disons plutôt une masse de muscle. Enfin, je ne reste pas longtemps occupé par cela, je vais même en profiter, si l'ambiance semble être à la projection d'être vivant prêté nous au jeu. Je profite alors de l'agitation et peut être de sa distraction et je passe à l'offensive. Mon bras gauche, ballant sur le côté de mon corps se redresse soudainement, je recule l'épaule dans le même mouvement et replie mon coude avant de tout déplier et venir écraser la paume de main sur le torse de l'immense bête en face de moi tout en prononçant.
- Attou !
Le choc ne doit pas l'impressionner plus que ça mais ce n'est pas ça mon but, pendant mon mouvement, une violente bourrasque se créer entre ma main et son torse, l'air se comprime et vient littéralement s'écraser contre son torse. La puissance à cette distance est dévastatrice, du moins c'est largement suffisamment pour le surprendre et le faire voler à quelques mètres, si il n'avait pas sa carrure j'aurais même parié que ces organes internes auraient pris un petit choc pour m'assurer qu'il me lâche dans le même mouvement que mon coup j'avais faucher sa main me tenant à l'aide de mon bras droit, balayant de bas en haut. Désormais libéré de son emprise, je chuta de ces quelques centimètres de haut. Pliant les jambes avec grâce plus par effet de style que réel nécessité. Je me redressais alors lentement. Les civils ne savaient plus où donner de la tête par rapport aux deux affrontements qui venaient d'exploser.
Je posais ma main gauche sur le fourreau de mon katana et la droite sur la garde, criant à l'intention de la créature en face de moi.
- Ne me force pas à aller plus loin ! Je te repayerais ta bouffe si on en reste là, ou tu seras la mienne de ce soir dans le cas contraire.
Provocateur ? Peut être un peu oui, l'arrogance est un de mes gros défauts, peu importe sa carrure j'étais prêt à me battre avec lui si il le fallait mais j'aurais préféré éviter, je n'aime pas forcément me battre sans raisons valable.
Il y a des combats qui méritent d’être vécus, des batailles dantesques qu’on rêve de vivre comme un gosse. Hors là, ce n’est rien d’autre que de l’agacement qui t’animes. L’honneur est connu pour être variés, mais là, rien d’autres qu’un ventre vide ne semble galvaniser tes membres. Ne t’étais-tu pas habitué à passer outre ce genre de comportement mon cher Leon ? Moins de baffe, plus de réflexion ? Ça te dis quelque chose ? Pour dire vrai, tu te l’étais même juré silencieusement durant ces trois dernières semaines. Alors oui, attraper le premier venu pour le bloquer entre tes griffes, ce n’était pas ce qu’on pouvait appeler de réfléchit. MAIS. Parcequ’il y a toujours un « mais », tu t’étais montré plus « doux » qu’a l’accoutumé. C’est important de le préciser. Grognon, certes, mais pas pour autant violent. Tu t’étais simplement contenté de le soulever, de le fixer de tes deux gros yeux rouges, de lui souffler dessus ton haleine de vilaine bête et bien évidement, de rugir ton mécontentement. Un grognement roque qui ne lui avait pas fait hausser le sourcil.
Lui, il était jeune, petit et maigre. Au bout de ton bras, il te semblait ridiculement faible mais hors cette légère silhouette, son aura était contraire à son gabarit. Alors qu’en un seul coup d’œil tu lui aurais donné le titre de « proie », ce gamin avait tout d’un féroce prédateur. Il resta stoïque, ballant au bout de tes doigts griffus, comme si de rien n’était. Relax, ses lèvres s’étaient ouvertes jusqu’à ce qu’un boucan plus grand que tes rugissements ne lui coupe la parole. Quasi simultanément, vos deux frimousses se tournèrent sur l’homme qui avait volé au travers d’un mur de pierre.
Facilement amusé, tu souris, préparant déjà un rire gras avant que le garçon ne dépose l’une de ses mains sur ton torse. Tu arques un sourcil, curieux. Panique-t-il enfin ? A en croire son regard et cette même aura qui émane de lui… pas vraiment. Tu restes sur tes gardes, contractant tes muscles et gonflant d’avantage ton poil. Puis la voilà qui arrive. Puissante et terrible, cette attaque aurait pu te faire de lourds dégâts. Une pression énorme de vent contre la poitrine et tu laisses échapper un minuscule grondement alors que tu es repoussé sur quelques mètres. Evidemment, tu lâches prises, essayant de garder l’équilibre. Vexé ? Nullement. Au contraire, tu affiches un tout nouveau sourire. Les crocs animés d’excitation, tu bombes le torse, noyé de toute cette tension qui envahie la rue. Sans pour autant le copier, tu viens à ton tour placer tes larges pattes griffues sur le fourreau de ton katana.
- Ne me force pas à aller plus loin ! Je te repayerais ta bouffe si on en reste là, ou tu seras la mienne de ce soir dans le cas contraire.
Mais quelle grande gueule. Vraiment, ce gamin te plait bien. Tu n’as pas l’intention de te battre. De toute façon tu crèves bien trop la dalle pour ça… et puis, même si tu adores être le centre de l’attention en matière de combat, il faut bien avouer que le mec qui a traverser le mur est un spectacle bien plus intense que votre querelle de goinfre. Gardant un œil sur ce qui se passe à une bonne dizaine de mètres, tu t’approches du petit humain, l’air décontracter et le sourire sur les babines.
▬ J’y compte bien gamin! Un rire, accompagné d'un gargouillement bruyant pour mettre fin à d’éventuel hostilité. C'est tout ce dont vous aviez besoin pour faire connaissance.
[je te laisse le soin de créer la connexion Marco ]
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Marco Zapata
Dit "Le Dragon Rouge" | 280, 000, 000 Berrys
Mar 8 Nov - 21:53
Nouveau Départ
L'Homme qui avait abordé le Dragon Rouge n'en revenait pas. Il s'était fait projeté si facilement, et par le sous-fifre d'un capitaine, qui plus est, s'étant lui même surpris de trembler face aux menaces de celui-ci. " Qui étaient ces Hommes?!", " N'avaient-ils donc pas peur de Barbe Noire?! " ne cessait-il de se répéter. Se relevant douloureusement, l'homme du seigneur des pirates auto-proclamé fit de nouveau face à la montagne qu'était son opposant alors que Marco, en arrière plan, se faisait sermonner comme un enfant par le propriétaire de la taverne pour avoir détruit l'un de ses murs. Ulfric, quant à lui, face au manque poignant d'agressivité du camp adverse, fit simplement volte face sans lui prêter la moindre attention pour rejoindre son capitaine, en l'imitant presque à la perfection, et l'aider à s'excuser auprès du tenancier; laissant le pauvre homme couvert de blessures, les bras ballants, au milieu d'une foule toujours muette. Il bouillait de rage! Jamais on ne l'avait autant humilié de sa vie, lui, et le nom de Barbe Noire. Main tremblante, il se saisit d'un revolver à silex pendant à sa ceinture avant de le pointer vers Marco, dos tourné, toujours en train de se faire sermonner. Un petit sourire satisfait se dessina sur les lèvres du forban alors que se doigt glissait progressivement sur la gâchette.
▬ Tu l'auras bien mérité enfoi.. Huh?!
Sans qu'il ne comprenne ce qui venait de se passer, son arme venait de quitter ses mains pour être traîné plusieurs mètres plus loin. Dans l'incompréhension la plus totale, il observa bêtement sa main comme si celle-ci allait lui fournir les réponses. C'est une voix rauque qui le " ramena " à la réalité, il comprit tout de suite qu'il s'agissait du responsable de ce désarmement.
▬ Réjouis toi de la pitié que ton geste vient de me procurer gamin, car elle vient de te sauver la vie. Mais je te conseille de quitter cet endroit avant que je ne change d'avis et que je ne montre moins indulgent.
C'était Johny, le second de l'équipage qui avait finalement quitté le Navire accompagné d'Alakir et de Zya, ses deux autres lieutenants, intrigué par le bordel que provoquait Marco et Ulfric, sachant pertinemment qu'on ne pouvait pas faire confiance à ces deux là lorsqu'ils étaient seuls; et ils avaient raison. Tous trois étaient entrés à leur tour par l'énorme trou de la façade du bâtiment en se mettant à leur tour à sermonner les deux pirates qui boudaient comme des enfants. Toujours spectateur, le sbire de Barbe Noire n'en croyait pas ses yeux, qu'est ce que c'était que cet équipage?! Plusieurs messes basses se faisaient entendre ici et là dans la foule, accompagnés de petits rires qu'il savait pertinemment pour lui. Exténué de faire face à cette situation de manière aussi passive, de se faire si ouvertement humilié, traité avec dédain, arrêté par les subordonnés d'un pirate aussi ridicule, il hurla en pleine rue, poussé par sa rage.
▬ MARCO ZAPATAAAAA!
▬ Quoi?! Toi aussi tu vas m'engueuler pour le trou maintenant?! C'est même pas moi qui l'ai fait en plus.. C'est toujours ma faute.. hurla-t-il à son tour en sortant, boudant comme un enfant que l'on venait de gronder.
Le visage du pirate se déforma en un rictus haineux, sa patience atteignait son paroxysme.
▬ Tu ne pourras pas toujours te cacher derrière ton équipage enfoiré! Tu penses pouvoir agir comme bon te semble?! Tu penses réellement pouvoir salir le nom de Barbe Noire aussi impunément?! Tu ne sais pas à qui tu as à faire! Tu risques de le regretter! Son règne ne fait que commencer, l'ère du vrai Seigneur des Pirates, Marshall D. Teach, ne fait que commencer!
▬ Tu parles beaucoup, mais c'est tout. rétorque Marco calmement, en haussant les épaules.
▬ C.. Comment oses-tu..
▬ Je n'ai que faire des paroles d'un homme qui n'est pas assez fort pour porter ses propres convictions, préférant se cacher derrière celle d'un autre, et par crainte, de surcroît. Tu n'es qu'un couard de plus qui n'a nullement conscience de ce qu'être pirate incombe. Tu ne cesses de prononcer le nom de ton maître sans jamais avoir montrer le courage de te battre pour lui, ne faisant que te terrer dans la crainte qu'il inspire. Mais malheureusement pour toi, nous ne sommes pas de ceux qui ont peur de se confronter aux Hommes dans la poursuite de leurs rêves. Et si jamais tu daignes encore une fois insulter notre Liberté..
.. nous t'exterminerons sans sommation.menaça Marco, le visage fermé, accompagné de ses lieutenants et de la dizaine de ses pirates qui l'ont suivi à terre.Et tu peux dire à Barbe Noire que son " règne " n'arrêtera pas les esprits libres parcourant ce monde depuis des générations. Son rêve ne s’assoira pas sur ceux de l'humanité, et encore moins sur les nôtres; même si cela implique d'écourter son ère pour qu'il le comprenne.
Bien qu'il l'ait trouvé ridicule depuis qu'il s'était montré sur l'île, le Dragon Rouge venait de montrer une facette de sa personne, et de son équipage par extension, qui venait de tétaniser littéralement l'assaillant, tenaillé par la peur. Suant à grosses gouttes, pris de puissants tremblements, il perdit l'équilibre en tombant en arrière, écrasé par la présence des Ailes Rouges. Sans prononcer le moindre mot, car incapable, il se hâta de prendre la fuite dans le sens opposé, bousculant toute la foule dans sa course, manquant de trébucher à de nombreuses reprises, le visage livide.
Marco le regardait prendre la fuite, son visage s'adoucissant lentement pour quitter ce ton menaçant peu habitué à couvrir son faciès. Quelque chose semblait soudainement l'intéresser dans la foule, plissant les yeux avant d'en prendre lentement la direction. Après quelques mètres, il tomba nez à nez avec un Minkman imposant qui semblait discutailler avec un jeune homme avec un étrange bonnet en forme de sanglier. Un silence pesant s'installa entre les trois hommes, alors que Marco soutenait son regard, le visage impassible. Après quelques secondes pouvant paraître comme plusieurs minutes, il daigna enfin prendre la parole, changeant brutalement d'expression et de ton, beaucoup plus enjoué.
▬ Woah! J'hallucine! Un ours et un cochon! Mais comme des Hommes! Les gars, z'avez vu ça?!s'écria-t-il en se tournant vers son équipage.Vous faisiez quoi? Vous alliez vous battre? Mais faites pas ça! Puis il va te défoncer, Monsieur Porc, regarde, c'est un ours! Un ours!s'excitait-il en s'adressant au plus petit des deux, les yeux écarquillés en feignant une expression grave.
Johny s'esclaffait face à l’insouciance de son capitaine au milieu de la consternation presque totale de la foule face à un spectacle aussi ridicule après avoir capter l'attention de toute la ville en menaçant ouvertement le seigneur des pirates. Crazy Pat' dans ses œuvres..
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Mar 8 Nov - 23:47
La justice n'est rien - l'honneur est tout.
Nouveau départ..
feat Léon & Marco
Tendus, il n'y a aucun meilleur mot pour décrire cette ambiance. J'ai aussi ce don d'éliminer toute chose superflus autour de moi lorsque je suis concentré, autant dire que je n'ai pas prêté attention à la scène qui se passe aux alentours concernant l'homme qui avait traversé le mur et l'autre montagne de muscle. Trop occupé à fixé cette énorme bête rouge qui déploie son immense stature sous mes yeux, je remarque son katana, ne l'ayant pas vu au début bien qu'il ne soit pas cacher. Mais il semblerait que ma phrase l'ai atteinte, je le vois décrocher ses pattes large et griffues de la garde de son arme, je fais de même, un peu plus lentement, méfiant. Il sourit il a l'air totalement décontracté, mettant déjà de côté la querelle qui venait d'éclater entre nous. Peut-être est-ce un piège ? Je ne sais pas comment le prendre, mon visage reste fermé alors que sa voix s'élève finit par un rire gras qui dessoude mon visage, m'arrachant un rictus léger, son rire est contagieux semble t'il.
Je me détends alors à mon tour, expirant un mince filet d'air d'entre mes lèvres alors que je m'apprêtais à réengager la conversation avec lui. Lui ? Oui ce n'est plus la bête désormais à mes yeux, c'est lui, la personne. Mais je fus pris de court par une voix niaise, alors que mon regard balaie d'un coup les alentours, j'arrive à faire un rapide topo de la situation sans m'enfoncer dans les détails, les ailes rouges hein ? Si je les connais ? De nom seulement, lorsqu'on navigue on en apprends forcément sur les têtes hautes de la piraterie, enfin tête haute ou pas, je n'aime pas ce qu'il me dit. Monsieur porc ? Il va te défoncer ? Je tic, ma mâchoire se serre, grande gueule ce Marco malgré son air stupide il est paraît t'il dangereux, je lui rétorque alors, me fichant totalement de ses antécédents.
- Si le physique seul comptait pour définir la force d'une personne, nul doute que tu serais dans les bas échelons de l'humanité toi et ton air niais.
Je lui jette un regard et dérive rapidement sur son équipage, ils ont une sacrée aura, forcé de l'admettre mais je n'étais pas du genre à me laisser impressionner et encore moins à me laisser marcher sur les pieds. Néanmoins, je n'attends pas de réponse de sa part et déjà, je me dirige vers le marchand de nourriture, enfonçant ma main dans ma poche pour constater au toucher que j'ai seulement de quoi repayer la nourriture que j'avais fais tomber, la poisse. Dans le même temps, je m'adresse à la victime de mon je m'en foutisme.
- Ton ventre parle pour toi, tiens.
Je sors les quelques berrys de ma poche et les lui tends sans ajouter le moindre mot, payer ma dette passe avant ma faim personnel.