Messages : 199 Date d'inscription : 22/11/2016 Age : 29 Localisation : Blblblbl. Feuille de personnage Unité de Puissance (UP): 4974 Points de Technique (PT): 763 Équipage: Les Pirates d'Opale
| Alazario BenvengaDit "Petit ours" | 65,000,000 Berrys Mer 3 Mai - 22:02 Salutations à tous, Avant toute chose, je tiens à expliquer les motifs de ce sujet. Celui-ci va servir à présenter un ensemble de réflexions RP que mon personnage, Alazario, fait sur le monde, et autre. J'ai finalement décidé de l'ouvrir pour offrir au MONDE des clefs de compréhension pour la psyché de ce personnage, qui moi-même, me passionne. Aussi, la difficulté à réunir les divers passages est assez élevée, d'autant que certains, de ces passages, ont été effacés. C'est donc surtout un condensé de notes et pensées récupérées dans divers RP. Si vous le souhaitez, je vous invite à poser des questions sur le personnage, ou même réagir. DUH. Ne prenez ce sujet que comme un topic désintéressé plutôt qu'une auto-appréciation ! :) "Le Bien et le Mal dans les sociétés contemporaines" - RP effacé (et avorté) - Spoiler:
Savez ce qu'il y a de drôle avec le monde du crime ? De l’économie souterraine et de l'action d'un agent pour détruire la vie d'un parfait inconnu ? Je vais vous répondre, qu'importe les efforts que l'on met pour chasser le mal, qu'importe combien de tête on parvient à trancher au serpent, celui-ci ne meurt jamais, le crime ne meurt jamais, la guerre et la violence ne changent jamais et finissent toujours pas revenir, le temps n'est alors plus une bénédiction pour oublier mais un instrument permettant à la violence de se nourrir, pour revenir plus puissante. Quel est alors l'intérêt de défendre un intérêt perdu, une cause sans espoir, pauvre Marine, même le Gouvernement l'a bien compris, même avec le plus grand des pouvoirs, on ne peut lutter contre le mal, alors pourquoi ne pas l'embrasser et se mêler avec dans de tortueuses passions d'où l'on extrait un plaisir, une excitation et une satisfaction personnelle, celle d'accomplissement et de réussite, chaque être à un point faible, pour beaucoup celui-ci se trouve être l'idéalisme.
"L'Esclavage vu par un Fou" - Neige, glace et contrebande... (Avec Jessie Mary)- Spoiler:
L'homme est un animal curieux, et curieux, c'est peu dire. Les Hommes bons, bienveillants, et justes, s'accordent tous à dire que l'esclavage, ou le fait de dominer de manière implacable la vie d'un autre Homme est un acte néfaste et horrible. La question est, pourquoi alors, les plus grands esprits de cette même société, les meilleurs, les dirigeants, acceptent et pratiquent l'esclavage comme un acte de domination simple et commun ? La réponse est assez simple, elle se trouve dans la nature même de l'Homme. La bonté, la gentillesse, la bienveillance, tous ces caractères ont été acquis par la socialisation, par l'évolution, en réfléchissant à ce principe, nous pourrions même demander si nous pouvons vraiment en vouloir à l'Esclavagiste de renouveler cette pratique, ou à l'Esclave de l'accepter. L'humain en lui-même n'est pas une créature de guerre, ou même de combativité, mais une créature de survie, fourbe, lâche, opportuniste, mauvaise et malveillante. L'esclave est celui qui se plie à cette nature sans se révolter, celui qui accepte le don d'une vie avec les chaînes aux poignets, une vie de servitude, mais une vie. L'esclavagiste est celui qui cède aux pulsions et aux envies primaires de l'Homme, celui qui saisit les opportunités qui se présentent à lui, sans prendre en compte un quelconque aspect de bonté. Alors se présente à nous deux choix, en vouloir à la race entière, ou dépasser la mélasse grouillante pour s'élever, s'en amuser, embrasser sa nature et l'accepter, ne faire qu'un avec la vie, ne faire qu'un avec la "mort", et jouer, jouer Alazario aime ça.
"De l'Homme et sa relation à la Mort" - Douce Nuit (Avec Natsu Naki)- Spoiler:
La nature, la nature, et par extension le règne végétal, est quelque chose d'absolument, magnifiquement, terriblement mortel et tristement éternel. La plus belle des fleurs finit toujours par s'éteindre et se faner, pour, peu à peu, rejoindre la terre et voir renaître autour du lieu de sa mort ses semblables, semblables qui, dans un espoir de beauté, un élan de jalousie, tenteront à leur tour de devenir si belle et si magnifique que la petite fleur. Oui, les Hommes sont tels des fleurs, inspirés et motivées par la jalousie d'être au monde ce que leur modèle était à son environnement, un soleil, rayonnement de beauté. Et même si cette jolie fleur est fanée depuis des siècles, lorsque l'on demandera à un enfant de penser à la plus belle des fleurs, alors il imaginera la plus immaculée et la plus parfaite des fleurs, notre petite fleur reste et restera à jamais magnifique et dans nos cœurs. À quoi bon, alors, pour nous autres, Hommes, faibles et fébriles, fragiles et chétifs, magnifiques et cruels, mortels et à la fois immortels, de vivre dans la peur de mourir, d'éviter les risques dans la peur de se faire mal. Osons, mourrons, et vivons à jamais dans l'éternelle. Osons, mourrons et vivons à jamais, nous autres, mortels.
"Les Désirs Impossibles de l'Humain" - Le Ciel ! C'est beau de loin ! (Avec Will Shad)- Spoiler:
Voler. Voler a toujours été une passion chez les êtres vivants cloués au sol et liés par les chaînes des lois de la nature, plus qu'une passion une envie, un désir, un caprice, ce qui est ironique avec les caprices de la conscience c'est qu'une fois obtenus, ils perdent tout goût, toute saveur, les désirs s'effacent pour laisser finalement place à un dégoût, ou un ennui mortel.
"Les logiques directrices des relations Humaines" - Event : Alabasta (Avec... GROUPE A)- Spoiler:
Alazario ouvrit la fenêtre pour observer la population fourmiller vers le château, c'est un drôle d'attroupement, quel intérêt pouvaient-ils porter à des sujets qui les dépassaient clairement, peut-être agissaient-ils par logique d'assimilation des nobles mœurs, peut-être était-ce un effet de groupe, qui sait, certainement eux, heureusement Alazario ne faisait pas partie du bas-peuple, que serait-il, lui qui a peur d'être dénué de tout pouvoir, s'il faisait parti de la masse laissé à l'abandon dans ce monde dirigé par des forts pour des puissants.
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