[QUÊTE] LE VOLEUR ! LE MONSTRE ! LE MEURTRIER [Pv Kashigami]

Alors que la nuit était belle, la lune bien au centre et ronde comme jamais. Des ombres traversaient le village, grande et menaçante, leurs capes traînaient au sol, le bruit de leurs fusils percutant leurs nombreuses armes se faisaient entendre au loin, indiquant au villageois que traîner dehors n'était pas bon signe, lorsque ce cliquetis ce faisait entendre. C'était le signe du couvre-feu instauré par ces hommes de l'ombre.


Ils se baladaient un peu partout en ville, regardant du coin de l'oeil autour d'eux, c'était clair et net. Ils cherchaient une nouvelle victime... Une nouvelle proie, même si la ville semblait déserte, les bars étaient quand à eux bien animé. Même trop si vous voulez mon avis. Des parents en dépression passaient leurs journées à piccoler. Mais cette fois nous retrouvons une famille assez insconciente.

« Vous êtes bien belle m'dame ! » Voilà une phrase bien lourde qui avait peusé dans la tête de la jeune femme, mais en même temps ça lui faisait tourner la tête, elle eu un sourire large. Depuis combien de temps n'avait t-elle pas prit du bon temps ? Elle allait peut-être accepter la proposition de l'homme.

« Oh... Je vois que vous êtes... robuste... »

Jusqu’à qu'une petite ombre arrivent en se plaignant.

«Maman... Je veux aller au toilette... Et j'ai sommeil, on ne devrait pas rentrer ? Le doyen avait pourtant... »

« Rooh... Chérie, tu veux bien attendre ici... Maman doit vérifier quelque chose... »

« Hum... D'accord... » Dit tristement la jeune fille, elle s'étalait sur la table pendant que sa mère montait à l'étage avec l'homme pour faire plus ample connaissance. Une mauvaise attitude hein ? La solitude l'oblige à faire des choses, cette dame avait peut-être penser que laisser sa fille seule à la maison était une mauvaise idée, donc elle avait décidé de l'emmener avec elle la soirée. Mais les hormones gagnent toujours.

Les heures passaient et la petite restait seul au bar, attendant sa mère depuis belle lurette. L'ambiance était devenue plus sombre de ce côté du bar, jusqu'à que quelqu'un n'arrive, suivit de plusieurs personnes. Rendant la taverne éclairé et joyeuse, vide et sans âme. Ils s'avançaient lentement vers le barman pour sûrement commander de quoi se rafraîchir la gorge, jusqu'à que l'un d'eux ne remarque la petite fille seul et lui propose un endroit ou attendre sa mer. Le lendemain de nombreuse affiche distribué par la mère elle même sont collé et offert aux passants.

HRP:

Notre histoire commence sur un bateau en direction du royaume de Goa, une île d'East Blue contrôlé par le gouvernement mondial, à bord du bateau, on pouvait trouver pas mal de mondes, soixante quatres personnages pour être précis. Parmi ces nombreux hommes, il y avait soixante soldats classiques, par classique, j'entends des personnages ni importants, ni puissants et ni très intelligents non plus d'ailleurs, c'était de simples sous-fifres. 

En temps que sous-fifres, ils étaient contrôlés par un supérieur, et dans notre situation par des supérieurs, il y avait Rainko, un archéologue venant de Shell town; on pouvait également trouver Honaka, une navigatrice qui vient de Cocoyashi, tout comme le capitaine du navire ; Il y avait aussi Nakigo, le second du navire, mais également un cuisinier avec beaucoup de talent qui vient du Baratie, le restaurant sur mer connu pour sa nourriture au goût exquis ; enfin, il y avait Kashigami, le capitaine et le médecin de bord, comme je l'ai annoncé plus tôt, il était né à Cocoyashi.

Tout cet équipage gouvernemental venait pour prendre des vacances, mais ils ne se doutaient pas qu'ils allaient découvrir un complot qui se profilait dans l'ombre de Goa, un complot incluant de l'esclavage d'enfant et un peu de meurtres, orchestrés par Kashigami en revanche, et visant les esclavagistes d'enfants dont il sera question dans cette histoire.

Goa est un royaume divisé en deux parties, d'un côté les riches, et de l'autre, les pauvres, les riches vivaient dans la capitale, une très grande ville pleine d'activité, tandis que les pauvres vivaient dans la campagne qui elle était tout sauf animé, les inégalités économiques sont plus élevées à Goa que sur les autres îles, car presque personne n'a de salaire moyen, là-bas, c'était vraiment riche ou pauvre.

Le navire Hebi était enfin arrivé sur l'île de Goa, il était arrêté non loin de la capitale et les quatre meneurs en sortirent, laissant la garde aux soldats. Une fois tous les ordres donnés, le groupe se dirigea vers la capitale, c'était rapide pour certains et plus lent pour d'autre, Kashigami dut s'adapter à la vitesse des autres, car sur ce point il surpassait tout le monde dans l'équipe, tout simplement car il maîtrisait le soru qui lui permettait de se déplacer très très vite.

Une fois les quatre personnages arrivés à la capitale, environ trente minutes plus tard pour quinze kilomètres, Kashigami donna environ cent mille berrys à tout le monde pour que chacun puissent prendre du bon temps, ceci fait, ils se séparèrent en se donnant rendez-vous deux heures plus tard devant l'hôtel qu'ils avaient réservé, un hôtel de luxe avec réduction pour le gouvernement mondiale. Honaka alla acheter des vêtements de son côté, Rainko chercha une librairie ou une bibliothèque pour acheter des livres, seul Kashigami et Nakigo restèrent ensemble pour aller faire des courses, en effet, le stock de nourritures à bord du Hebi commençait à être vide et il ne fallait pas tomber en pénurie de nourritures en pleine mer.

Dans leurs courses, Kashigami et Nakigo prirent un peu de tout : de la viande séchée ou fumée, des céréales, des boissons, et beaucoup d'autres. Une fois leurs courses terminées, environ une heure cinquante plus tard, Kashigami proposa à Nakigo d'y aller, en ajoutant que le sac commençait à être lourd, Nakigo acquiesça et les deux compagnons se dirigèrent vers l'hôtel.

Sur la route du bâtiment, Kashigami vit une femme qui avait l'air totalement affolé poser des affiches un peu partout, intrigué par cette situation, Kashigami alla questionner la demoiselle qui semblait stressé.

❝ ▬ Bonjour madame, que se passe-t-il ? Pourquoi avez-vous l'air si affolé et quel est le rapport entre cet affolement et la jeune fille sur cette affiche ?  ❞

Demanda Kashigami bien que la situation semblât claire, la fille de la femme avait apparemment était kidnappé et sa mère se faisait un sang d'encre, avec une pincée de culpabilité qu'il restait encore à expliqué par A+B.

Un blond, le blond demandait s'il quelque chose n'allait pas, ou qu'elle avait un problème.

« Oui ! Merci seigneur ! Ma fille, elle c'est envolée, comme les autres... Au bar hier... C'est ma faute, je n'aurais pas... » Les larmes montaient, les sentiments devaient trop fort chez les dames, elle n'arrivait plus à donner d'explications au blondinet, elle inspira profondément en se disant qu'il fallait bien qu'elle se calme, sinon les choses ne bougeront pas. Elle reprit plus calmement, même si sa voix tremblait encore.

« Hier, ma fille... Je l'ai seulement quitté du regard pendant quelques minutes... J'allais av... J'allais au toilette, et quand je suis revenue, elle n'était plus au bar... J'ai cherché toute la nuit rien... J'ai alors parler au barman, et il m'a dit qu'elle était partie avec des grands hommes portant des capuches... » Elle se mordit la lèvre inférieure, et passait sa main dans ses cheveux, ses ongles étaient rongé, mais à moitié repoussé. Impossible qu'elle ce soit rongé les ongles hier, le rongement d'ongle ce fait souvent lorsque la personne stresse sur quelque chose, cette jeune femme aurait t-elle quelque chose à caché.

« Vous pouvez parler au barman... Je...Je vous donne son adresse. » Avait t-elle dit en glissant une carte dans la poche du blondinet...

« Ramenez moi ma fille, je vous en conjure... C'est la seule famille proche qu'il me reste... Les choses allaient déjà mal, alors en plus ça. »

Kashigami soupira, il était en vacances et on lui demandait de retrouver un enfant, et la femme n'avait même pas pensé que Kashigami pouvait être un des kidnappeurs d'enfant, autant lui faire croire que ce n'était pas du tout un agent du gouvernement mondial, les vacances, on doit en profiter, alors ce n'est pas un petit kidnapping de rien du tout qui allait lui faire rater ses vacances annuelles.

❝ ▬ Madame, ça, vous devriez le demander à un membre du gouvernement mondiale en fonction, nous on est de simples passants qui voyons une femme affolé poser des affiches d'une jeune fille partout dans la villes ❞

Et sur ceux, Kashigami et Nakigo repartirent en direction de l’hôtel, pour manger, boire, se reposer et s'amuser, enfin passer de bonnes vacances quoi, les deux compères étaient déjà partit quand Kashigami releva quelque chose d'étrange dans la phrase de la femme, alors Flashback : " ma fille, elle c'est envolée, comme les autres... "Que voulait-elle dire par "comme les autres" ? Il y avait eut d'autres kidnappings ?

Dans ce cas, une enquête devait déjà avoir été menée et personne n'avait dût découvrir le coupable, à partir de là, on pouvait penser que l'affaire avait une ampleur et donc, qu'il était important que quelqu'un de compétent si incruste, mais avant de s'incruster dans l'enquête, il fallait demander plus d'informations à la dame, Kashigami se redirigea donc vers la femme, toujours affolé

❝ ▬ Qu'est-ce que vous vouliez dire par envolée comme les autres, il y a eu d'autre kidnappings ? ❞

Même s'il était en vacance et qu'il avait franchement la flemme de travailler, il ne pouvait pas refuser de mener une enquête comportant plusieurs disparitions, après tout, c'était son devoir de membre du gouvernement mondial et il n'allait pas fuir ses fonctions comme un lâche, voilà pourquoi il décida de prendre cet affaires en main, seul, par ce que les autres avaient quand même droit à leur vacance, eux. Quoi que, Nakigo tenterait surement de s'incruster lui aussi.

Ils avaient eux aussi tourner les talons à la pauvre dame qui venait de perdre sa petite fille adorée, la pauvre. Elle était maintenant seul ? Continuant de montrer le visage de sa fille sur la place publique peut-être qu'un autre voyageur ayant cette fois un cœur viendrait l'aider ?

Jusqu’à qu'une nouvelle fois les deux agents du gouvernement revenait vers elle, un soupire soulagé se fit entendre. Contente de voir que les deux jeunes agents avaient peut-être eu un sursaut de conscience !

L'un d'eux demanda d'ailleurs si d'autres élèvements avaient c'étaient produit.


« Oui ! Plusieurs ! Depuis deux mois, ça fait depuis deux mois que des enfants disparaissent... Mais personne ne veut nous aider... J'implore votre aide, retrouver ma petite fille... Elle est trop fragile, si quelque chose de néfaste lui arrivait je me ne le pardonnerais jamais... Le dernier endroit ou elle a été vue, c'est dans le bar du coin... »